Après le succès de ses projets au centre-ville de Beyrouth (dont District//S, The Courtyard et Garden View), la société immobilière Estates vient de lancer un nouveau projet résidentiel Bouyout Daroun réparti sur une parcelle de 33 000 m2 à Daroun au Kesrouan. Entretien avec Anthony el-Khoury, CEO et cofondateur d’Estates SAL, la société en charge du développement du projet.
Comment se structure Bouyout Daroun ?
Le projet se compose de 149 unités distribuées dans 26 immeubles. La superficie des appartements varie de 140 à 280 m2. 90 % des unités de deux à quatre chambres à coucher bénéficient d’un jardin. Environ 20 % du coefficient d’exploitation n’a pas été utilisé afin de privilégier les espaces verts. Le complexe compte également des commerces, une garderie, une piscine couverte, des courts de tennis et une salle de gym.
Pourquoi avoir investi dans cette région ?
Bouyout Daroun s’inscrit dans la continuité de notre projet District//S, c’est-à-dire de proposer des “petits villages” résidentiels dans un environnement maîtrisé et contrôlé. Toutefois, tout le monde ne peut pas se payer un appartement au centre-ville et à Beyrouth. Afin de cibler de plus petits budgets, nous avons cherché de larges parcelles à la montagne. Celle de Daroun fait 33 000 m2 et occupe un flanc de colline avec des vues sur le littoral. Le site se trouve entre 400 et 500 mètres d’altitude.
Quelle est la grille des prix ?
Les prix varient de 1 750 à 2 000 dollars le m2. Par contre, les villas individuelles sont affichées de 2 400 à 2 600 dollars le m2. Nous sommes associés avec la BLC Bank pour faciliter les prêts immobiliers. Déjà 70 % des acheteurs en ont fait la demande.
Comment expliquez-vous la multiplication des complexes résidentiels à la montagne ?
Il y a un appétit de la part de familles pour des résidences secondaires ou principales dans des complexes sécurisés avec des espaces de loisirs à proximité de Beyrouth. Les gens attendent un produit de qualité dans un cadre vert et calme. C’est un créneau à exploiter. Pour cette raison en 2013, nous allons lancer dans la même logique un complexe intitulé Novus Hills à Raboué.
Êtes-vous en concurrence avec Beit Misk ?
Beit Misk est un très grand projet qui couvre 655 000 m2. Nous ne sommes pas dans la même catégorie. Bouyout Daroun cible une autre clientèle avec différents budgets.
Quand les travaux vont-ils commencer ?
Le projet se divise en deux phases. La première va durer trois ans et demi et concerne l’infrastructure et 45 % des appartements. Puis, la seconde phase s’étalera sur deux ans. Ainsi, le projet sera achevé d’ici à la fin 2017.
Lancé fin 2010, comment se déroule la commercialisation du projet District//S à Saifi Village ?
Environ 60 % du résidentiel et 48 % des boutiques ont été vendus. Notre gamme d’appartements cible un large panel d’acheteurs, puisque nous avons mis sur le marché des studios à partir de 60 m2. Plus de la moitié de ces petites unités ont déjà été achetées. À ce jour, 99 % des logements ont été acquis par des Libanais.
Comment jugez-vous le marché immobilier actuel ?
Le marché est plus lent qu’auparavant. C’est une réalité et c’est normal étant donné la situation politique et sécuritaire au Liban et dans le monde arabe. Toutefois, il n’y a pas de crise. Si les gens prennent plus de temps pour décider d’acheter, les prix n’ont pas bougé et il y a toujours une demande. Le marché n’est pas à l’arrêt.
Le projet se compose de 149 unités distribuées dans 26 immeubles. La superficie des appartements varie de 140 à 280 m2. 90 % des unités de deux à quatre chambres à coucher bénéficient d’un jardin. Environ 20 % du coefficient d’exploitation n’a pas été utilisé afin de privilégier les espaces verts. Le complexe compte également des commerces, une garderie, une piscine couverte, des courts de tennis et une salle de gym.
Pourquoi avoir investi dans cette région ?
Bouyout Daroun s’inscrit dans la continuité de notre projet District//S, c’est-à-dire de proposer des “petits villages” résidentiels dans un environnement maîtrisé et contrôlé. Toutefois, tout le monde ne peut pas se payer un appartement au centre-ville et à Beyrouth. Afin de cibler de plus petits budgets, nous avons cherché de larges parcelles à la montagne. Celle de Daroun fait 33 000 m2 et occupe un flanc de colline avec des vues sur le littoral. Le site se trouve entre 400 et 500 mètres d’altitude.
Quelle est la grille des prix ?
Les prix varient de 1 750 à 2 000 dollars le m2. Par contre, les villas individuelles sont affichées de 2 400 à 2 600 dollars le m2. Nous sommes associés avec la BLC Bank pour faciliter les prêts immobiliers. Déjà 70 % des acheteurs en ont fait la demande.
Comment expliquez-vous la multiplication des complexes résidentiels à la montagne ?
Il y a un appétit de la part de familles pour des résidences secondaires ou principales dans des complexes sécurisés avec des espaces de loisirs à proximité de Beyrouth. Les gens attendent un produit de qualité dans un cadre vert et calme. C’est un créneau à exploiter. Pour cette raison en 2013, nous allons lancer dans la même logique un complexe intitulé Novus Hills à Raboué.
Êtes-vous en concurrence avec Beit Misk ?
Beit Misk est un très grand projet qui couvre 655 000 m2. Nous ne sommes pas dans la même catégorie. Bouyout Daroun cible une autre clientèle avec différents budgets.
Quand les travaux vont-ils commencer ?
Le projet se divise en deux phases. La première va durer trois ans et demi et concerne l’infrastructure et 45 % des appartements. Puis, la seconde phase s’étalera sur deux ans. Ainsi, le projet sera achevé d’ici à la fin 2017.
Lancé fin 2010, comment se déroule la commercialisation du projet District//S à Saifi Village ?
Environ 60 % du résidentiel et 48 % des boutiques ont été vendus. Notre gamme d’appartements cible un large panel d’acheteurs, puisque nous avons mis sur le marché des studios à partir de 60 m2. Plus de la moitié de ces petites unités ont déjà été achetées. À ce jour, 99 % des logements ont été acquis par des Libanais.
Comment jugez-vous le marché immobilier actuel ?
Le marché est plus lent qu’auparavant. C’est une réalité et c’est normal étant donné la situation politique et sécuritaire au Liban et dans le monde arabe. Toutefois, il n’y a pas de crise. Si les gens prennent plus de temps pour décider d’acheter, les prix n’ont pas bougé et il y a toujours une demande. Le marché n’est pas à l’arrêt.