Trait d’union entre les secteurs des grands hôtels de Minet el-Hosn et la zone des Souks de Beyrouth, l’avenue du Parc (officiellement l’avenue François el-Hajj) s’affirme comme une artère moderne, élégante et multifonctionnelle. Selon The Quarterly, le bulletin de la société Ramco Real Estate Advisers, l’avenue qui compte treize parcelles dont deux non bâties est devenue progressivement une destination d’affaires recherchée par les grosses compagnies locales et internationales mais aussi les enseignes commerciales du luxe. La valeur locative des bureaux y est l’une des plus élevées du Liban et le prix des appartements commence à partir de 6 500 dollars le m2.
L’avenue du Parc est avant tout une artère résidentielle avec sept immeubles d’appartements dont trois sont encore en construction (Park Palace, 45 Park Avenue, Périmètre Avenue du Parc). Globalement, les surfaces des simplex varient de 375 à 650 m2, c’est supérieur à la moyenne du centre-ville qui est autour de 350 m2. Comme l’ancienne avenue des Français qui lui est perpendiculaire, l’avenue du Parc n’offre pas de vues sur la mer mais reste une adresse raffinée avec des petits immeubles de quelques étages avec de 11 à 22 unités par immeuble. Ce paysage urbain contraste avec celui des tours qui surplombent la baie du Saint-Georges et qui comptent des centaines de logements. L’avenue du Parc attire ainsi une élite locale et expatriée à la recherche d’un cadre privé et exclusif.
Un seul immeuble cible le marché locatif, les autres projets sont ou ont été mis à la vente.
Berytus Parks, The Palladium, 2 Park Avenue font partie des immeubles d’affaires les plus prestigieux de la capitale. Cette notoriété est également associée à la présence du siège social de Bank Audi. L’avenue du Parc offre des produits de qualité avec de larges espaces modulables dans des immeubles disposant de parkings souterrains et d’entrées entretenues et sécurisées. Les loyers y varient de 350 à 375 dollars le m2 par an. C’est 20 à 30 % plus chers que la moyenne des loyers des bureaux au centre-ville qui est surtout constitué d’un stock ancien avec des petites unités et sans parking.
Puisque chaque nouvelle construction dispose d’espaces commerciaux, l’avenue du Parc s’est imposée comme une artère marchande recherchée par les commerçants. Bien qu’il n’y ait aucun flux piétonnier, les professionnels y voient une alternative à la rue Allenby, porte-drapeau du luxe au Liban. Plusieurs enseignes locales et surtout internationales (comme Lanvin, Paul Smith, Hogan, Valentino, Cavalli Café) y bénéficient d’une belle visibilité. Toutefois, l’avenue du Parc n’est pas appropriée pour le lèche-vitrine et l’achat impulsif. Elle demeure une destination qui cible une clientèle spécifique désireuse de se rendre dans une boutique déterminée à l’avance. Les deux extrémités de l’avenue se distinguent : la partie nord est dans le prolongement de l’hôtel Four Seasons. La partie sud est dominée par les boutiques au rez-de-chaussée des immeubles The Palladium et 2 Park Avenue. Parmi les franchises de l’habillement, un restaurant s’y est imposé avec succès. Les loyers devraient varier entre 1 000 et 1 200 dollars le m2 par an. Néanmoins, certains propriétaires demandent de 20 à 40 % plus cher que cette fourchette. Mais les professionnels ne suivent pas obligatoirement cette surenchère. Ainsi, quelques locaux sont encore disponibles.
L’avenue du Parc est avant tout une artère résidentielle avec sept immeubles d’appartements dont trois sont encore en construction (Park Palace, 45 Park Avenue, Périmètre Avenue du Parc). Globalement, les surfaces des simplex varient de 375 à 650 m2, c’est supérieur à la moyenne du centre-ville qui est autour de 350 m2. Comme l’ancienne avenue des Français qui lui est perpendiculaire, l’avenue du Parc n’offre pas de vues sur la mer mais reste une adresse raffinée avec des petits immeubles de quelques étages avec de 11 à 22 unités par immeuble. Ce paysage urbain contraste avec celui des tours qui surplombent la baie du Saint-Georges et qui comptent des centaines de logements. L’avenue du Parc attire ainsi une élite locale et expatriée à la recherche d’un cadre privé et exclusif.
Un seul immeuble cible le marché locatif, les autres projets sont ou ont été mis à la vente.
Berytus Parks, The Palladium, 2 Park Avenue font partie des immeubles d’affaires les plus prestigieux de la capitale. Cette notoriété est également associée à la présence du siège social de Bank Audi. L’avenue du Parc offre des produits de qualité avec de larges espaces modulables dans des immeubles disposant de parkings souterrains et d’entrées entretenues et sécurisées. Les loyers y varient de 350 à 375 dollars le m2 par an. C’est 20 à 30 % plus chers que la moyenne des loyers des bureaux au centre-ville qui est surtout constitué d’un stock ancien avec des petites unités et sans parking.
Puisque chaque nouvelle construction dispose d’espaces commerciaux, l’avenue du Parc s’est imposée comme une artère marchande recherchée par les commerçants. Bien qu’il n’y ait aucun flux piétonnier, les professionnels y voient une alternative à la rue Allenby, porte-drapeau du luxe au Liban. Plusieurs enseignes locales et surtout internationales (comme Lanvin, Paul Smith, Hogan, Valentino, Cavalli Café) y bénéficient d’une belle visibilité. Toutefois, l’avenue du Parc n’est pas appropriée pour le lèche-vitrine et l’achat impulsif. Elle demeure une destination qui cible une clientèle spécifique désireuse de se rendre dans une boutique déterminée à l’avance. Les deux extrémités de l’avenue se distinguent : la partie nord est dans le prolongement de l’hôtel Four Seasons. La partie sud est dominée par les boutiques au rez-de-chaussée des immeubles The Palladium et 2 Park Avenue. Parmi les franchises de l’habillement, un restaurant s’y est imposé avec succès. Les loyers devraient varier entre 1 000 et 1 200 dollars le m2 par an. Néanmoins, certains propriétaires demandent de 20 à 40 % plus cher que cette fourchette. Mais les professionnels ne suivent pas obligatoirement cette surenchère. Ainsi, quelques locaux sont encore disponibles.