Dans sa dernière étude sur la région MENA, l’Institut de la finance internationale (IFI) a estimé que le taux de croissance au Liban était passé de 1,8% en 2011 à 0,8% en 2012.
Selon l’institut, ce ralentissement s’explique principalement par les tensions internes ayant directement affecté l’investissement, le tourisme, les exportations et les Investissements directs étrangers (IDE). La situation en Syrie continue également de menacer sérieusement la stabilité économique du Liban, tandis que le pays doit faire face à l’afflux de plus de 300.000 réfugiés syriens.
Par ailleurs, l’IFI a souligné l’importance du potentiel économique du Liban sur le moyen terme. "Un environnement politique stable accompagné de réformes structurelles, alors que le pays vient tout juste de se découvrir un potentiel offshore, permettraient à l’économie libanaise de progresser vers un taux de croissance plus élevé sur le moyen terme", a indiqué l’institut.
L’IFI a enfin relevé la résilience du système bancaire libanais "soutenu par d’importants dépôts et des transferts d’émigrés continus".
Selon l’institut, ce ralentissement s’explique principalement par les tensions internes ayant directement affecté l’investissement, le tourisme, les exportations et les Investissements directs étrangers (IDE). La situation en Syrie continue également de menacer sérieusement la stabilité économique du Liban, tandis que le pays doit faire face à l’afflux de plus de 300.000 réfugiés syriens.
Par ailleurs, l’IFI a souligné l’importance du potentiel économique du Liban sur le moyen terme. "Un environnement politique stable accompagné de réformes structurelles, alors que le pays vient tout juste de se découvrir un potentiel offshore, permettraient à l’économie libanaise de progresser vers un taux de croissance plus élevé sur le moyen terme", a indiqué l’institut.
L’IFI a enfin relevé la résilience du système bancaire libanais "soutenu par d’importants dépôts et des transferts d’émigrés continus".