La banque américaine Citigroup a estimé dans son dernier rapport la croissance du PIB à 2% pour 2013 au Liban, notamment à cause des tensions politiques internes et des répercussions de la guerre en Syrie.
La banque a par ailleurs estimé que le déficit budgétaire atteindrait les 8,7% du PIB en 2013 contre 7,3% du PIB l’an dernier. Concernant le déficit des comptes courants, Citigroup prévoit qu’il atteigne 15,8% du PIB contre 14,6% en 2012.
Toujours selon les mêmes sources, le plan de relance de la Banque du Liban (BDL) ciblerait les secteurs de l’immobilier et de la construction par une diminution des coûts des prêts hypothécaires, les rendant plus accessibles aux éventuels investisseurs et acheteurs. Les autorités considéraient ainsi qu’une reprise du secteur immobilier bénéficierait au reste de l’économie. Cependant, Citigroup a indiqué que l’accès au financement ne constituait pas la principale origine du déclin de l’activité du secteur immobilier. La banque a considéré que ce dernier avait souffert de l’instabilité et de l’incertitude économique liée à la situation en Syrie et aux conséquences plus ou moins directes sur le Liban.
Citigroup a par ailleurs souligné la solidité du secteur bancaire libanais, mettant notamment en avant le niveau élevé des liquidités, reflété par la croissance à deux chiffres des prêts au secteur privé et la croissance continue des dépôts.
La banque a par ailleurs estimé que le déficit budgétaire atteindrait les 8,7% du PIB en 2013 contre 7,3% du PIB l’an dernier. Concernant le déficit des comptes courants, Citigroup prévoit qu’il atteigne 15,8% du PIB contre 14,6% en 2012.
Toujours selon les mêmes sources, le plan de relance de la Banque du Liban (BDL) ciblerait les secteurs de l’immobilier et de la construction par une diminution des coûts des prêts hypothécaires, les rendant plus accessibles aux éventuels investisseurs et acheteurs. Les autorités considéraient ainsi qu’une reprise du secteur immobilier bénéficierait au reste de l’économie. Cependant, Citigroup a indiqué que l’accès au financement ne constituait pas la principale origine du déclin de l’activité du secteur immobilier. La banque a considéré que ce dernier avait souffert de l’instabilité et de l’incertitude économique liée à la situation en Syrie et aux conséquences plus ou moins directes sur le Liban.
Citigroup a par ailleurs souligné la solidité du secteur bancaire libanais, mettant notamment en avant le niveau élevé des liquidités, reflété par la croissance à deux chiffres des prêts au secteur privé et la croissance continue des dépôts.