Après avoir acquis une solide réputation dans la construction au Liban et au Qatar, le groupe libanais Imar se lance désormais dans la promotion immobilière avec deux projets résidentiels à Saïfi et à Bickfaya. Entretien avec Aline Abboud, responsable des ventes au sein du groupe.
Qui est le groupe Imar ?
Le groupe a été fondé en 1995 par Hanna Shammas. Imar est spécialisé dans l’architecture d’intérieur et la construction. À partir de 2000, nous nous sommes implantés à Doha, au Qatar, où Imar a décroché plusieurs contrats de construction pour des projets d’aéroports, d’hôtels, d’universités et d’hôpitaux.
Votre premier projet à Beyrouth se trouve à Saïfi. Comment se structure-t-il ?
Le projet Saifi 477 occupe une parcelle de 1 283 m2 qui s’étire sur 45 mètres le long de la rue al-Arz. L’immeuble compte 21 étages dont deux niveaux techniques. Le podium se compose de deux boutiques de 323 et 469 m2. Saifi 477 totalise 53 appartements. Les simplex de deux à trois chambres à coucher varient de 162 à 264 m2. Certains ont des plafonds de 4,38 mètres. Nous avons également des rez-de-jardin avec des terrasses de 20 m2 et des unités (split level) réparties sur trois niveaux.
La rue al-Arz est également un axe d’affaires. Avez-vous envisagé un projet de bureaux ?
Nous n’avons jamais pensé utiliser la parcelle pour un projet de bureaux. En fait, cette partie de Saïfi compte déjà six projets résidentiels qui offrent une large gamme de surfaces avec des studios mais également des logements au-delà de 350 m2. Le quartier, qui est à quelques minutes de Saifi Village, va devenir une adresse résidentielle recherchée.
Quels sont vos prix de vente ?
Notre grille commence à 4 200 dollars le m2. Le commercial est affiché à 9 000 dollars le m2. Actuellement, une boutique, le penthouse et cinq appartements ont été vendus. Six autres sont réservés.
Comment jugez-vous le marché immobilier actuel ?
Il y a une forte compétition entre les projets. Dans une telle situation, il faut aller chercher le client. Par exemple, nous utilisons nos réseaux pour cibler les expatriés. Étant implantés au Qatar, nous misons sur les Libanais qui y sont installés. À ce jour, toutes nos ventes ont été réalisées auprès d’expatriés.
Quelle est votre stratégie pour promouvoir vos projets ?
Nous sommes présents sur la Toile dont Facebook et Google Map. C’est une nécessité. Nous nous rendons également dans les pays du Golfe où nous présentons le projet à des clients potentiels. Nous avons une approche personnelle dans laquelle nous nous adressons à eux presque individuellement.
Votre second projet est situé à Bickfaya. Quelle est sa spécificité ?
Les Bois de Bikfaya se trouvent au milieu d’une forêt de pins à la sortie du village de Bickfaya. Nous avons obtenu le permis pour ouvrir une route pour accéder au site.
Le complexe se répartit sur une surface de 12 500 m2 et totalise huit immeubles avec en majorité six appartements par bloc. Le design et les plans sont dans leur phase finale. Mais les surfaces devraient s’étirer de 160 à 250 m2. La majorité des appartements bénéficie d’une terrasse ou d’un jardin.
À qui s’adressent Les Bois de Bikfaya ?
Nos cibles sont autant les expatriés à la recherche d’un pied-à-terre que les Libanais en quête d’une résidence principale dans le Metn.
Le groupe a été fondé en 1995 par Hanna Shammas. Imar est spécialisé dans l’architecture d’intérieur et la construction. À partir de 2000, nous nous sommes implantés à Doha, au Qatar, où Imar a décroché plusieurs contrats de construction pour des projets d’aéroports, d’hôtels, d’universités et d’hôpitaux.
Votre premier projet à Beyrouth se trouve à Saïfi. Comment se structure-t-il ?
Le projet Saifi 477 occupe une parcelle de 1 283 m2 qui s’étire sur 45 mètres le long de la rue al-Arz. L’immeuble compte 21 étages dont deux niveaux techniques. Le podium se compose de deux boutiques de 323 et 469 m2. Saifi 477 totalise 53 appartements. Les simplex de deux à trois chambres à coucher varient de 162 à 264 m2. Certains ont des plafonds de 4,38 mètres. Nous avons également des rez-de-jardin avec des terrasses de 20 m2 et des unités (split level) réparties sur trois niveaux.
La rue al-Arz est également un axe d’affaires. Avez-vous envisagé un projet de bureaux ?
Nous n’avons jamais pensé utiliser la parcelle pour un projet de bureaux. En fait, cette partie de Saïfi compte déjà six projets résidentiels qui offrent une large gamme de surfaces avec des studios mais également des logements au-delà de 350 m2. Le quartier, qui est à quelques minutes de Saifi Village, va devenir une adresse résidentielle recherchée.
Quels sont vos prix de vente ?
Notre grille commence à 4 200 dollars le m2. Le commercial est affiché à 9 000 dollars le m2. Actuellement, une boutique, le penthouse et cinq appartements ont été vendus. Six autres sont réservés.
Comment jugez-vous le marché immobilier actuel ?
Il y a une forte compétition entre les projets. Dans une telle situation, il faut aller chercher le client. Par exemple, nous utilisons nos réseaux pour cibler les expatriés. Étant implantés au Qatar, nous misons sur les Libanais qui y sont installés. À ce jour, toutes nos ventes ont été réalisées auprès d’expatriés.
Quelle est votre stratégie pour promouvoir vos projets ?
Nous sommes présents sur la Toile dont Facebook et Google Map. C’est une nécessité. Nous nous rendons également dans les pays du Golfe où nous présentons le projet à des clients potentiels. Nous avons une approche personnelle dans laquelle nous nous adressons à eux presque individuellement.
Votre second projet est situé à Bickfaya. Quelle est sa spécificité ?
Les Bois de Bikfaya se trouvent au milieu d’une forêt de pins à la sortie du village de Bickfaya. Nous avons obtenu le permis pour ouvrir une route pour accéder au site.
Le complexe se répartit sur une surface de 12 500 m2 et totalise huit immeubles avec en majorité six appartements par bloc. Le design et les plans sont dans leur phase finale. Mais les surfaces devraient s’étirer de 160 à 250 m2. La majorité des appartements bénéficie d’une terrasse ou d’un jardin.
À qui s’adressent Les Bois de Bikfaya ?
Nos cibles sont autant les expatriés à la recherche d’un pied-à-terre que les Libanais en quête d’une résidence principale dans le Metn.