La banque d’investissement britannique Barclays Capital a estimé dans son dernier rapport que l’approbation de la hausse des salaires du secteur public au Liban pourrait menacer la viabilité des finances publiques en 2013 et même au-delà.
La banque a prévu un déficit budgétaire à hauteur de 9,5% du PIB en 2013 contre une prévision initiale de 8% en raison de la faiblesse des perspectives de croissance et de la récente décision d’augmenter les salaires dans le secteur public. Ainsi, Barclays Capital a revu ses prévisions de croissance à la baisse, estimant un taux à 2% pour 2013 contre une prévision initiale de 2,5% en raison notamment de l’instabilité politique.
Toujours selon les mêmes sources, le gouvernement libanais a examiné de nombreuses mesures pour couvrir le coût total de l’augmentation des salaires du secteur public, estimé entre 1,3 milliard et 2 milliards de dollars. Mais la banque britannique a souligné que les mesures proposées pour le financement pourraient se heurter à un problème de consensus politique.
Enfin, Barclays Capital a prévu que le ratio dette/PIB augmenterait à 140% du PIB, ce qui le mènerait sur la trajectoire ascendante après plusieurs années de déclin.
La banque a prévu un déficit budgétaire à hauteur de 9,5% du PIB en 2013 contre une prévision initiale de 8% en raison de la faiblesse des perspectives de croissance et de la récente décision d’augmenter les salaires dans le secteur public. Ainsi, Barclays Capital a revu ses prévisions de croissance à la baisse, estimant un taux à 2% pour 2013 contre une prévision initiale de 2,5% en raison notamment de l’instabilité politique.
Toujours selon les mêmes sources, le gouvernement libanais a examiné de nombreuses mesures pour couvrir le coût total de l’augmentation des salaires du secteur public, estimé entre 1,3 milliard et 2 milliards de dollars. Mais la banque britannique a souligné que les mesures proposées pour le financement pourraient se heurter à un problème de consensus politique.
Enfin, Barclays Capital a prévu que le ratio dette/PIB augmenterait à 140% du PIB, ce qui le mènerait sur la trajectoire ascendante après plusieurs années de déclin.