Situé dans la vallée entre Kahalé et Bsous, Kfarnassim est un nouveau complexe résidentiel sécurisé de 102 appartements dont la cible sont les primo-accédants à la recherche d’un logement aux portes de Beyrouth. Entretien avec Georges Estephan, copropriétaire du projet.
Comment se structure Kfarnassim ?
Le complexe occupe une parcelle d’environ 22 000 m2 qui se trouve entre 305 et 370 mètres d’altitude. Kfarnassim totalise 17 blocs avec des appartements de 140 et 170 m2 et des duplex de 265 m2. De nombreuses unités bénéficient de jardins et de terrasses. Les résidents disposeront d’une piscine, d’un club de sport et d’une aire de jeux.
Pour quelles raisons avez-vous investi dans cette région ?
L’achat remonte à trois ans. Nous avions prospecté plusieurs options autour de Beyrouth. Notre logique était de développer un complexe résidentiel sur une large parcelle dont le prix pouvait nous permettre de cibler les budgets de 250 000 à 300 000 dollars.
Pourquoi ciblez-vous ces budgets ?
Nous sommes partis du constat qu’il faut viser les ménages avec un revenu mensuel de 4 000 à 5 000 dollars qui peuvent obtenir un prêt bancaire d’environ 200 000 dollars. Ainsi, avec un petit apport personnel pour le premier versement, il leur est possible d’acquérir un bien à Kfarnassim.
À quelle date planifiez-vous la fin des travaux ?
À la fin de l’été, la structure béton des huit premiers blocs sera terminée. Puis, nous commencerons les travaux de quatre nouveaux blocs. Ainsi, d’ici à la fin de l’année, douze blocs seront en cours de construction. La livraison du projet est prévue pour l’été 2015.
Quels sont vos prix de vente et votre taux de vente ?
Notre grille commence à 1 900 dollars le m2. Le premier prix actuel est de 275 000 dollars pour un 140 m2. À ce jour, environ 60 % du projet a été déjà vendu. Les ventes avaient commencé en octobre 2012, date du lancement du projet au cours du Salon immobilier du Biel.
Beaucoup pensent qu’un appartement dans un complexe résidentiel entraîne un surcoût des charges annuelles. Quelles seront celles de votre projet ?
Tous les coûts sont divisés par le nombre d’appartements, ce qui permet de limiter les frais. À Kfarnassim, ils seront de 17 dollars par m2 annuel, soit environ 200 dollars mensuels pour un 140 m2. Cela est très acceptable.
Quelle est votre clientèle ?
Il s’agit principalement de jeunes couples qui travaillent sur Beyrouth. Nous avons plusieurs ingénieurs, avocats et médecins.
Votre taux de vente est très positif alors que le marché immobilier actuel est au ralenti. Avez-vous une explication ?
Kfarnassim offre deux places de parking et une cave par appartement, ce qui est un plus incontestable. Nos prix sont compétitifs. Nous sommes nettement moins chers que New Mar Takla, Louaizé et Jamhour. De plus, nous répondons à une nécessité démographique. La population augmente et a besoin de se loger.
Avez-vous d’autres projets immobiliers à Beyrouth ?
Dans quelques mois, nous terminons la construction de notre second projet à Mar Mikhaël. Il s’agit d’un petit immeuble de cinq appartements avec des duplex de 175 à 225 m2 et un triplex de 400 m2. Tous les duplex ont déjà été vendus.
Comment jugez-vous l’état du marché à Mar Mikhaël ?
Nous avons investi dans le quartier dès 2008. Il était à l’époque totalement sous-estimé. Depuis, il y a eu une attaque de la part des promoteurs qui y ont multiplié les projets. Cela a entraîné deux phénomènes : primo, l’incidence foncière est passée de 400 à 1 200 dollars le m2, c’est-à-dire qu’elle a été multipliée par trois en six ans ; secundo, il y a une multiplication des appartements sur le marché. À court terme, une correction des prix doit se faire. Ainsi, nous attendons que ce stock s’écoule avant de lancer de nouveaux projets dans le quartier.
Le complexe occupe une parcelle d’environ 22 000 m2 qui se trouve entre 305 et 370 mètres d’altitude. Kfarnassim totalise 17 blocs avec des appartements de 140 et 170 m2 et des duplex de 265 m2. De nombreuses unités bénéficient de jardins et de terrasses. Les résidents disposeront d’une piscine, d’un club de sport et d’une aire de jeux.
Pour quelles raisons avez-vous investi dans cette région ?
L’achat remonte à trois ans. Nous avions prospecté plusieurs options autour de Beyrouth. Notre logique était de développer un complexe résidentiel sur une large parcelle dont le prix pouvait nous permettre de cibler les budgets de 250 000 à 300 000 dollars.
Pourquoi ciblez-vous ces budgets ?
Nous sommes partis du constat qu’il faut viser les ménages avec un revenu mensuel de 4 000 à 5 000 dollars qui peuvent obtenir un prêt bancaire d’environ 200 000 dollars. Ainsi, avec un petit apport personnel pour le premier versement, il leur est possible d’acquérir un bien à Kfarnassim.
À quelle date planifiez-vous la fin des travaux ?
À la fin de l’été, la structure béton des huit premiers blocs sera terminée. Puis, nous commencerons les travaux de quatre nouveaux blocs. Ainsi, d’ici à la fin de l’année, douze blocs seront en cours de construction. La livraison du projet est prévue pour l’été 2015.
Quels sont vos prix de vente et votre taux de vente ?
Notre grille commence à 1 900 dollars le m2. Le premier prix actuel est de 275 000 dollars pour un 140 m2. À ce jour, environ 60 % du projet a été déjà vendu. Les ventes avaient commencé en octobre 2012, date du lancement du projet au cours du Salon immobilier du Biel.
Beaucoup pensent qu’un appartement dans un complexe résidentiel entraîne un surcoût des charges annuelles. Quelles seront celles de votre projet ?
Tous les coûts sont divisés par le nombre d’appartements, ce qui permet de limiter les frais. À Kfarnassim, ils seront de 17 dollars par m2 annuel, soit environ 200 dollars mensuels pour un 140 m2. Cela est très acceptable.
Quelle est votre clientèle ?
Il s’agit principalement de jeunes couples qui travaillent sur Beyrouth. Nous avons plusieurs ingénieurs, avocats et médecins.
Votre taux de vente est très positif alors que le marché immobilier actuel est au ralenti. Avez-vous une explication ?
Kfarnassim offre deux places de parking et une cave par appartement, ce qui est un plus incontestable. Nos prix sont compétitifs. Nous sommes nettement moins chers que New Mar Takla, Louaizé et Jamhour. De plus, nous répondons à une nécessité démographique. La population augmente et a besoin de se loger.
Avez-vous d’autres projets immobiliers à Beyrouth ?
Dans quelques mois, nous terminons la construction de notre second projet à Mar Mikhaël. Il s’agit d’un petit immeuble de cinq appartements avec des duplex de 175 à 225 m2 et un triplex de 400 m2. Tous les duplex ont déjà été vendus.
Comment jugez-vous l’état du marché à Mar Mikhaël ?
Nous avons investi dans le quartier dès 2008. Il était à l’époque totalement sous-estimé. Depuis, il y a eu une attaque de la part des promoteurs qui y ont multiplié les projets. Cela a entraîné deux phénomènes : primo, l’incidence foncière est passée de 400 à 1 200 dollars le m2, c’est-à-dire qu’elle a été multipliée par trois en six ans ; secundo, il y a une multiplication des appartements sur le marché. À court terme, une correction des prix doit se faire. Ainsi, nous attendons que ce stock s’écoule avant de lancer de nouveaux projets dans le quartier.