La banque d’investissement HSBC a revu à la baisse ses prévisions de croissance pour le Liban en 2013, l’estimant à 0% contre une prévision initiale de 1,4% en avril et contre une croissance de 4,2 % pour les pays de la région MENA et 2% pour les économies non productrices de pétrole. Ces prévisions feraient du pays du Cèdre le seul dans la région MENA à ne pas enregistrer de croissance en 2013.
Selon HSBC, la détérioration de l’environnement politique au Liban a eu un effet négatif sur la performance économique et le sentiment de confiance des investisseurs. La banque britannique ajoute que les effets négatifs du conflit syrien sur le Liban y ont lourdement pesé sur les perspectives de croissance.
La baisse d'activité s'explique surttout par le ralentissement des secteurs de la construction et du tourisme. HSBC s’attend à une saison estivale « pauvre ».
Selon HSBC, la détérioration de l’environnement politique au Liban a eu un effet négatif sur la performance économique et le sentiment de confiance des investisseurs. La banque britannique ajoute que les effets négatifs du conflit syrien sur le Liban y ont lourdement pesé sur les perspectives de croissance.
La baisse d'activité s'explique surttout par le ralentissement des secteurs de la construction et du tourisme. HSBC s’attend à une saison estivale « pauvre ».