Situé dans le secteur Nazareth, The Quarter s’impose par ses chiffres : 45 appartements, 10 surfaces différentes, quatre blocs indépendants, 11 000 m2 de surfaces résidentielles. En l’espace de 15 mois, 65 % du projet est déjà vendu. Une belle réussite
alors que le marché immobilier à Beyrouth passe par une phase d’accalmie. Entretien avec Bassam Chamoun, promoteur du projet.
Où se trouve exactement The Quarter à Nazareth ?
Le projet se situe le long de la façade sud de l’école Nazareth. Ce site offre un luxe indéniable, celui d’avoir de la verdure et de larges dégagements. Le projet se compose de deux immeubles de deux blocs chacun séparés par une rue. Au total, il nous a fallu cinq ans pour acquérir l’ensemble des parcelles.
Comment se structure The Quarter ?
Le projet compte 14 étages et totalise 45 appartements de 135 à 605 m2, soit des unités d’une à cinq chambres à coucher. Mais 77 % des logements varient de 135 à 266 m2.
Quels sont vos prix de vente ?
Le premier étage est affiché à 4 000 dollars le m2. À ce jour et après quinze mois de commercialisation, 65 % du projet a déjà été vendu.
Votre taux de vente contredit le marasme du marché immobilier actuel. Avez-vous une recette spécifique ?
Pourtant nous ne faisons pas de publicités ni nous utilisons les réseaux sociaux. Nous avons voulu être très flexibles sur les surfaces des appartements. Ainsi, nous avons proposé un service plutôt personnalisé avec des appartements à la carte en fonction des demandes des clients. Nous avons un total de dix types de logements différents. Chacun en fonction de son budget peut y acquérir un logement. Ensuite, nous avons voulu créer une adresse différente des produits qui existent à Achrafié. Finalement, l’architecture se vend et les acheteurs sont prêts à payer pour avoir un produit de qualité, un design moderne et de belles hauteurs sous plafond.
Quels sont vos prochains projets ?
Nous terminons notre immeuble K7030 à Faraya. À l’avenir, nous étudions les opportunités de développer de nouveaux projets à Achrafié ainsi qu’un complexe résidentiel sécurisé avec des services (espaces verts, piscines, salle polyvalente, etc.) hors de Beyrouth pour des budgets d’environ 500 000 dollars.
La tendance actuelle est de proposer des logements de plus en plus petits, inférieurs à 150 m2. Êtes-vous intéressé prochainement d’explorer ce créneau ?
J’ai l’impression que les petites surfaces séduisent principalement les investisseurs qui visent le marché locatif. Beaucoup de promoteurs offrent ce type de produits depuis quatre à cinq ans. Toutefois, je reste persuadé qu’il y a aussi une attente à Achrafié de la part des familles pour des surfaces plus grandes et plus spacieuses entre 200 et 300 m2. Ce sont des espaces plus agréables à vivre pour des couples avec des enfants.
Depuis quelle année êtes-vous dans la promotion immobilière ?
Depuis une dizaine d’années, notre société de promotion immobilière Credo développe des projets à Achrafié et à Faraya. En parallèle, je suis directeur du conseil d’administration de Sites Architects, qui est à la fois un cabinet d’architecture et une compagnie de management de chantiers de construction.
Le projet se situe le long de la façade sud de l’école Nazareth. Ce site offre un luxe indéniable, celui d’avoir de la verdure et de larges dégagements. Le projet se compose de deux immeubles de deux blocs chacun séparés par une rue. Au total, il nous a fallu cinq ans pour acquérir l’ensemble des parcelles.
Comment se structure The Quarter ?
Le projet compte 14 étages et totalise 45 appartements de 135 à 605 m2, soit des unités d’une à cinq chambres à coucher. Mais 77 % des logements varient de 135 à 266 m2.
Quels sont vos prix de vente ?
Le premier étage est affiché à 4 000 dollars le m2. À ce jour et après quinze mois de commercialisation, 65 % du projet a déjà été vendu.
Votre taux de vente contredit le marasme du marché immobilier actuel. Avez-vous une recette spécifique ?
Pourtant nous ne faisons pas de publicités ni nous utilisons les réseaux sociaux. Nous avons voulu être très flexibles sur les surfaces des appartements. Ainsi, nous avons proposé un service plutôt personnalisé avec des appartements à la carte en fonction des demandes des clients. Nous avons un total de dix types de logements différents. Chacun en fonction de son budget peut y acquérir un logement. Ensuite, nous avons voulu créer une adresse différente des produits qui existent à Achrafié. Finalement, l’architecture se vend et les acheteurs sont prêts à payer pour avoir un produit de qualité, un design moderne et de belles hauteurs sous plafond.
Quels sont vos prochains projets ?
Nous terminons notre immeuble K7030 à Faraya. À l’avenir, nous étudions les opportunités de développer de nouveaux projets à Achrafié ainsi qu’un complexe résidentiel sécurisé avec des services (espaces verts, piscines, salle polyvalente, etc.) hors de Beyrouth pour des budgets d’environ 500 000 dollars.
La tendance actuelle est de proposer des logements de plus en plus petits, inférieurs à 150 m2. Êtes-vous intéressé prochainement d’explorer ce créneau ?
J’ai l’impression que les petites surfaces séduisent principalement les investisseurs qui visent le marché locatif. Beaucoup de promoteurs offrent ce type de produits depuis quatre à cinq ans. Toutefois, je reste persuadé qu’il y a aussi une attente à Achrafié de la part des familles pour des surfaces plus grandes et plus spacieuses entre 200 et 300 m2. Ce sont des espaces plus agréables à vivre pour des couples avec des enfants.
Depuis quelle année êtes-vous dans la promotion immobilière ?
Depuis une dizaine d’années, notre société de promotion immobilière Credo développe des projets à Achrafié et à Faraya. En parallèle, je suis directeur du conseil d’administration de Sites Architects, qui est à la fois un cabinet d’architecture et une compagnie de management de chantiers de construction.