Après plusieurs immeubles construits à Beyrouth sous l’enseigne Convivium, le groupe BREI explore un nouveau marché avec son projet Proximus 1 à Fidar, celui des petits appartements à proximité de la mer. Entretien avec Layal Chahine, responsable des ventes.
Comment se structure Proximus 1 ?
Le projet se trouve le long de la route côtière de Fidar sur une parcelle de 3 600 m2 adjacente à une ancienne usine de soie. Réparti dans trois immeubles, Proximus 1 totalise 54 appartements de 50 à 120 m2, soit des unités d’une à trois chambres à coucher. 16 unités bénéficient d’un jardin privé et les duplex ont des vues sur le littoral. L’architecture est signée Jean-Pierre Gebara.
Pourquoi un tel projet entre Jounié et Jbeil ?
Proximus 1 est un nouveau concept. Il offre de petites unités résidentielles à quelques mètres de la mer. C’est un créneau qui n’est pas exploité sur le marché immobilier. Nos produits s’adressent à de jeunes couples à la recherche d’un chalet ou d’une résidence secondaire hors de la capitale. Par exemple, nos produits de 120 m2 sont très fonctionnels, ils comportent trois chambres à coucher, deux salles de bains, un salon/salle à manger et une cuisine américaine. En revanche, il n’y a pas de chambre pour une employée de maison.
Quel est votre taux de vente ?
La commercialisation a commencé fin 2011 et à ce jour, 50 % du projet a déjà été vendu. La part des expatriés n’est que de 20 %. Tous les jours, les gens nous contactent pour avoir des informations et connaître nos tarifs.
Quels sont vos prix de vente ?
La grille des prix varie de 1 800 à 2 150 dollars le m2. Cela permet de cibler les budgets de 100 000 à 250 000 dollars. Notre stratégie est d’étirer la phase de construction du projet pour que nos clients puissent échelonner plus facilement les paiements. Les acheteurs apprécient cela. Ils peuvent même obtenir un prêt bancaire pour financer 90 % de la valeur de l’appartement avec notre partenaire Byblos Bank.
Votre dernier projet à Beyrouth a été Convivium VI au cours de l’été 2012, quel bilan en tirez-vous ?
Convivium VI à Saïfi a été une réussite. Cet été 2013, malgré la situation que le pays a connue, nous avons vendu deux appartements. Aujourd’hui, il nous reste uniquement deux unités à la vente. Ce projet a été novateur. Nous avons été l’un des premiers immeubles résidentiels à proposer des appartements d’une chambre à coucher. Sur un total de 83 appartements, nous avons une cinquantaine d’unités inférieures à 110 m2. 80 % de ces produits ont été mis par leur propriétaire sur le marché locatif. À ce jour, 98 % de ce stock est loué de 1 500 à 1 800 dollars par mois pour des logements non meublés et de 2 000 à 3 000 dollars par mois pour des meublés. 40 % des locataires sont des étrangers.
Y aura-t-il bientôt de nouveaux projets Proximus et Convivium ?
L’intérêt des clients pour Proximus 1 nous encourage à développer ce concept vers d’autres régions littorales. De son côté, Convivium est un concept qui a fait ses preuves. Nous sommes toujours à l’affût d’opportunités pour démarrer un nouveau projet. Nos clients des précédents projets nous demandent régulièrement quand sera mis en vente le prochain Convivium. Nous avons créé une attente.
Le projet se trouve le long de la route côtière de Fidar sur une parcelle de 3 600 m2 adjacente à une ancienne usine de soie. Réparti dans trois immeubles, Proximus 1 totalise 54 appartements de 50 à 120 m2, soit des unités d’une à trois chambres à coucher. 16 unités bénéficient d’un jardin privé et les duplex ont des vues sur le littoral. L’architecture est signée Jean-Pierre Gebara.
Pourquoi un tel projet entre Jounié et Jbeil ?
Proximus 1 est un nouveau concept. Il offre de petites unités résidentielles à quelques mètres de la mer. C’est un créneau qui n’est pas exploité sur le marché immobilier. Nos produits s’adressent à de jeunes couples à la recherche d’un chalet ou d’une résidence secondaire hors de la capitale. Par exemple, nos produits de 120 m2 sont très fonctionnels, ils comportent trois chambres à coucher, deux salles de bains, un salon/salle à manger et une cuisine américaine. En revanche, il n’y a pas de chambre pour une employée de maison.
Quel est votre taux de vente ?
La commercialisation a commencé fin 2011 et à ce jour, 50 % du projet a déjà été vendu. La part des expatriés n’est que de 20 %. Tous les jours, les gens nous contactent pour avoir des informations et connaître nos tarifs.
Quels sont vos prix de vente ?
La grille des prix varie de 1 800 à 2 150 dollars le m2. Cela permet de cibler les budgets de 100 000 à 250 000 dollars. Notre stratégie est d’étirer la phase de construction du projet pour que nos clients puissent échelonner plus facilement les paiements. Les acheteurs apprécient cela. Ils peuvent même obtenir un prêt bancaire pour financer 90 % de la valeur de l’appartement avec notre partenaire Byblos Bank.
Votre dernier projet à Beyrouth a été Convivium VI au cours de l’été 2012, quel bilan en tirez-vous ?
Convivium VI à Saïfi a été une réussite. Cet été 2013, malgré la situation que le pays a connue, nous avons vendu deux appartements. Aujourd’hui, il nous reste uniquement deux unités à la vente. Ce projet a été novateur. Nous avons été l’un des premiers immeubles résidentiels à proposer des appartements d’une chambre à coucher. Sur un total de 83 appartements, nous avons une cinquantaine d’unités inférieures à 110 m2. 80 % de ces produits ont été mis par leur propriétaire sur le marché locatif. À ce jour, 98 % de ce stock est loué de 1 500 à 1 800 dollars par mois pour des logements non meublés et de 2 000 à 3 000 dollars par mois pour des meublés. 40 % des locataires sont des étrangers.
Y aura-t-il bientôt de nouveaux projets Proximus et Convivium ?
L’intérêt des clients pour Proximus 1 nous encourage à développer ce concept vers d’autres régions littorales. De son côté, Convivium est un concept qui a fait ses preuves. Nous sommes toujours à l’affût d’opportunités pour démarrer un nouveau projet. Nos clients des précédents projets nous demandent régulièrement quand sera mis en vente le prochain Convivium. Nous avons créé une attente.