Après Trabaud 1804 et L’Héritage de Abdel Wahab, Capstone Investment Group va démarrer, début 2014, le chantier de L’Élite de Sursock. Malgré une conjoncture difficile, le groupe continue de miser sur le haut de gamme. Entretien avec Ziad Maalouf, PDG de Capstone.
Présentez-nous L’Élite de Sursock ?
L’immeuble compte 30 étages. Nous avons un total de 52 appartements de 325 m2 avec une hauteur sous plafond de 3,2 mètres et un penthouse de 650 m2. Les deux derniers étages sont un club house avec une salle de sport, une piscine et une salle polyvalente. Le projet a la particularité également d’avoir une villa de 820 m2 avec un jardin de 600 m2. Cette propriété n’était pas classée et aurait pu être détruite, mais nous avons préféré la garder pour la restaurer. C’est un bien rare à Beyrouth.
Comment s’est fait le choix des surfaces ?
Notre projet Trabaud 1804 a prouvé que les unités d’environ 300 m2 étaient demandées. C’est la superficie idéale pour une famille. Pour le quartier Sursock et son standing, proposer des 325 m2 avec de trois à quatre chambres à coucher avec une salle de télé est un minimum. En réalité, dans les beaux quartiers d’Achrafié, nous vendons plus vite des appartements de 300 m2 que de 200 m2.
Pourquoi avoir privilégié un club house sur deux étages qui aurait pu être vendu comme des appartements ?
Les acheteurs apprécient ce plus. C’est indéniablement un argument de vente que nous utilisons pour promouvoir le projet. Le club house et la préservation de l’ancienne maison font partie de l’image que nous voulons donner à L’Élite de Sursock, qui se veut un produit différent des autres projets d’Achrafié.
À quand remonte l’acquisition de la parcelle ?
Nous avons signé en novembre 2012. L’achat de cette parcelle de 2 400 m2 a été mis en place par Capstone et financé par un tour de table réunissant quinze investisseurs dont le ministre Michel Pharaon qui préside la compagnie (B-One Cap) qui a acquis la parcelle.
A-t-il été difficile de réunir autant d’investisseurs ?
En deux mois, nous avons réuni les fonds nécessaires. Les investisseurs ont déposé de
500 000 à 6 millions de dollars.
Comment a été choisi le nom du projet ?
Ce n’est jamais facile de trouver un nom pour un projet. Au départ, nous avons défini une liste d’une dizaine d’options. Finalement, nous avons choisi L’Élite de Sursock afin de suggérer un produit de qualité.
Quel est le prix de vente ?
La grille des prix commence à 6 000 dollars le m2. À ce jour, 40 % du projet a déjà été vendu.
2013 se termine, quel bilan en tirez-vous ?
Le marché immobilier est toujours dans une phase difficile. Il est incontestablement affecté par ce qui se passe en Syrie. Beaucoup de clients ne cessent de repousser leur décision d’achat. En parallèle, les prix restent stables, donc les gens prennent leur temps. Par exemple, nous venons de vendre cet automne un appartement à Trabaud après trois mois de négociation. L’acquéreur a comparé les produits disponibles, puis il est revenu à nous.
Comment voyez-vous le marché immobilier en 2014 ?
Tout va dépendre de la situation en Syrie. Si une solution politique est trouvée, nous sommes persuadés que cela va se répercuter positivement sur l’immobilier au Liban. La première conséquence sera une hausse des prix des appartements.
L’immeuble compte 30 étages. Nous avons un total de 52 appartements de 325 m2 avec une hauteur sous plafond de 3,2 mètres et un penthouse de 650 m2. Les deux derniers étages sont un club house avec une salle de sport, une piscine et une salle polyvalente. Le projet a la particularité également d’avoir une villa de 820 m2 avec un jardin de 600 m2. Cette propriété n’était pas classée et aurait pu être détruite, mais nous avons préféré la garder pour la restaurer. C’est un bien rare à Beyrouth.
Comment s’est fait le choix des surfaces ?
Notre projet Trabaud 1804 a prouvé que les unités d’environ 300 m2 étaient demandées. C’est la superficie idéale pour une famille. Pour le quartier Sursock et son standing, proposer des 325 m2 avec de trois à quatre chambres à coucher avec une salle de télé est un minimum. En réalité, dans les beaux quartiers d’Achrafié, nous vendons plus vite des appartements de 300 m2 que de 200 m2.
Pourquoi avoir privilégié un club house sur deux étages qui aurait pu être vendu comme des appartements ?
Les acheteurs apprécient ce plus. C’est indéniablement un argument de vente que nous utilisons pour promouvoir le projet. Le club house et la préservation de l’ancienne maison font partie de l’image que nous voulons donner à L’Élite de Sursock, qui se veut un produit différent des autres projets d’Achrafié.
À quand remonte l’acquisition de la parcelle ?
Nous avons signé en novembre 2012. L’achat de cette parcelle de 2 400 m2 a été mis en place par Capstone et financé par un tour de table réunissant quinze investisseurs dont le ministre Michel Pharaon qui préside la compagnie (B-One Cap) qui a acquis la parcelle.
A-t-il été difficile de réunir autant d’investisseurs ?
En deux mois, nous avons réuni les fonds nécessaires. Les investisseurs ont déposé de
500 000 à 6 millions de dollars.
Comment a été choisi le nom du projet ?
Ce n’est jamais facile de trouver un nom pour un projet. Au départ, nous avons défini une liste d’une dizaine d’options. Finalement, nous avons choisi L’Élite de Sursock afin de suggérer un produit de qualité.
Quel est le prix de vente ?
La grille des prix commence à 6 000 dollars le m2. À ce jour, 40 % du projet a déjà été vendu.
2013 se termine, quel bilan en tirez-vous ?
Le marché immobilier est toujours dans une phase difficile. Il est incontestablement affecté par ce qui se passe en Syrie. Beaucoup de clients ne cessent de repousser leur décision d’achat. En parallèle, les prix restent stables, donc les gens prennent leur temps. Par exemple, nous venons de vendre cet automne un appartement à Trabaud après trois mois de négociation. L’acquéreur a comparé les produits disponibles, puis il est revenu à nous.
Comment voyez-vous le marché immobilier en 2014 ?
Tout va dépendre de la situation en Syrie. Si une solution politique est trouvée, nous sommes persuadés que cela va se répercuter positivement sur l’immobilier au Liban. La première conséquence sera une hausse des prix des appartements.