Le Liban est classé 101e sur 138 pays dans l’indice mondial de la compétitivité - Global Competitiveness Index (GCI)- publié chaque année par le Forum économique mondial, et dominé depuis 2009 par la Suisse. Le classement et le score du Liban (3,8 sur 7) sont identiques à ceux de l’année dernière, avec une compétitivité toujours plombée par la corruption, l'instabilité gouvernementale et l'obsolescence des infrastructures, souligne le rapport.
Au niveau régional, le pays du Cèdre devance l'Égypte (115e au niveau mondial), la Mauritanie (137e) et le Yémen (138e), mais se situe loin derrière les Émirats arabes unis (16e), leader des pays de la zone Mena.
L’indice mesure la compétitivité des États en fonction de 12 indicateurs regroupés en trois sous-indices.
Le Liban obtient la note de 3,6 sur 7 pour le sous-indice « critères de base », qui mesure les performances des « institutions », des « infrastructures », de « l'environnement macroéconomique » et du « secteur de la santé » et « de l'enseignement primaire ». Ce résultat le classe au 125e rang, et lui fait perdre 4 places par rapport à 2015.
Pour le sous-indice « optimisation de l'efficacité », qui s'organise autour des piliers « enseignement supérieur et formation », « efficacité du marché des produits », « efficacité du marché du travail », « développement des marchés financiers », « maturité technologique » et « taille du marché », le pays du Cèdre obtient la note de 4. Classé 72e, il perd une place par rapport à l’édition précédente.
Enfin, au niveau du sous-indice « innovation et critères de sophistication » qui comprend les piliers « développement des entreprises » et « innovations », il obtient une note de 3,8 qui lui permet de gagner 15 places au classement mondial (52e).
L’indice mesure la compétitivité des États en fonction de 12 indicateurs regroupés en trois sous-indices.
Le Liban obtient la note de 3,6 sur 7 pour le sous-indice « critères de base », qui mesure les performances des « institutions », des « infrastructures », de « l'environnement macroéconomique » et du « secteur de la santé » et « de l'enseignement primaire ». Ce résultat le classe au 125e rang, et lui fait perdre 4 places par rapport à 2015.
Pour le sous-indice « optimisation de l'efficacité », qui s'organise autour des piliers « enseignement supérieur et formation », « efficacité du marché des produits », « efficacité du marché du travail », « développement des marchés financiers », « maturité technologique » et « taille du marché », le pays du Cèdre obtient la note de 4. Classé 72e, il perd une place par rapport à l’édition précédente.
Enfin, au niveau du sous-indice « innovation et critères de sophistication » qui comprend les piliers « développement des entreprises » et « innovations », il obtient une note de 3,8 qui lui permet de gagner 15 places au classement mondial (52e).