Pierre Ziadeh et son associé Souhail Nassar, détenteurs de la holding SP, ont ouvert Lily’s Café au centre-ville. Ce café, inspiré des cafés-pâtisseries à la française et développé grâce à l’aide de chefs français, propose des petits déjeuners et repas légers pour un ticket moyen autour de 30 dollars. Lily’s Café, qui représente un investissement d’un million et demi de dollars, pourrait être la première marque du groupe à être franchisée.
Ce n’est pas le seul investissement de la holding SP jusqu’ici principalement connue pour le restaurant L’Avenue du Parc. D’ici à la fin de l’année Pierre Ziadeh et Souhail Nassar prévoient l’ouverture de deux autres établissements dans le même quartier, où Souhail Nassar détient du patrimoine immobilier. En décembre, c’est donc un restaurant de viande, un steak house lounge nommé Celcius qui ouvrira ses portes, Moyennnant un investissement de deux millions de dollars cet établissement pourra accueillir 180 personnes pour un ticket moyen à 50 dollars. En février, ce sera au tour du Sérail du Parc, un restaurant de cuisine traditionnelle et de poisson qui pourra accueillir 250 personnes pour un ticket moyen à 60 dollars.
À noter que la société SP Holding gère le restaurant français Cocteau depuis septembre, en remplacement du fondateur Maroun Battal. Pierre Ziadeh est aussi partenaire de la société KAMP, fondée en 2011. Cette entreprise détient les marques Kampai et Gavi. D’ici à 2017, Kampai, qui existe déjà à Riyad, va ouvrir à Djeddah, puis à Vienne et à Munich. « Nous voulons nous hisser au niveau des grandes enseignes internationales comme Zuma », explique-t-il. Coût de l’opération : trois millions de dollars en Autriche et deux millions à Djeddah.
S’il fait aujourd’hui partie d’une société en pleine expansion qui emploie plus de 1 400 personnes pour un chiffre d’affaires annuel qui se compte en millions de dollars, Pierre Ziadeh a pourtant fait ses débuts loin des cuisines, dans le prêt-à-porter. Ce n’est qu’en 2003 qu’il décide, par curiosité et par goût du service d’investir avec Robert Karam dans un premier restaurant : le libanais Karam au centre-ville. « C’était une envie personnelle, je ne comptais pas faire carrière dans ce domaine », dit-il.
Rapidement, Karam est un succès, mais face aux troubles politiques entraînés par l’assassinat du Premier ministre Rafic Hariri en 2005, Pierre Ziadeh et Robert Karam préfèrent poursuivre l’expansion de la marque à l’étranger : en Arabie saoudite, aux Émirats arabes unis et en Jordanie.
Bien que très attaché au Liban, Pierre Ziadeh pense à des débouchés à l’étranger pour quasiment toutes ses marques. Après Kampai, Gavi doit s’installer en Arabie saoudite et L’Avenue du Parc à Londres. Mais toujours à l’écoute de nouvelles opportunités, Pierre Ziadeh envisage aujourd’hui d’investir au Liban, mais en dehors de la capitale. Comme d’autres acteurs du secteur, il a les yeux rivés sur Dbayé et Broummana.
Ce n’est pas le seul investissement de la holding SP jusqu’ici principalement connue pour le restaurant L’Avenue du Parc. D’ici à la fin de l’année Pierre Ziadeh et Souhail Nassar prévoient l’ouverture de deux autres établissements dans le même quartier, où Souhail Nassar détient du patrimoine immobilier. En décembre, c’est donc un restaurant de viande, un steak house lounge nommé Celcius qui ouvrira ses portes, Moyennnant un investissement de deux millions de dollars cet établissement pourra accueillir 180 personnes pour un ticket moyen à 50 dollars. En février, ce sera au tour du Sérail du Parc, un restaurant de cuisine traditionnelle et de poisson qui pourra accueillir 250 personnes pour un ticket moyen à 60 dollars.
À noter que la société SP Holding gère le restaurant français Cocteau depuis septembre, en remplacement du fondateur Maroun Battal. Pierre Ziadeh est aussi partenaire de la société KAMP, fondée en 2011. Cette entreprise détient les marques Kampai et Gavi. D’ici à 2017, Kampai, qui existe déjà à Riyad, va ouvrir à Djeddah, puis à Vienne et à Munich. « Nous voulons nous hisser au niveau des grandes enseignes internationales comme Zuma », explique-t-il. Coût de l’opération : trois millions de dollars en Autriche et deux millions à Djeddah.
S’il fait aujourd’hui partie d’une société en pleine expansion qui emploie plus de 1 400 personnes pour un chiffre d’affaires annuel qui se compte en millions de dollars, Pierre Ziadeh a pourtant fait ses débuts loin des cuisines, dans le prêt-à-porter. Ce n’est qu’en 2003 qu’il décide, par curiosité et par goût du service d’investir avec Robert Karam dans un premier restaurant : le libanais Karam au centre-ville. « C’était une envie personnelle, je ne comptais pas faire carrière dans ce domaine », dit-il.
Rapidement, Karam est un succès, mais face aux troubles politiques entraînés par l’assassinat du Premier ministre Rafic Hariri en 2005, Pierre Ziadeh et Robert Karam préfèrent poursuivre l’expansion de la marque à l’étranger : en Arabie saoudite, aux Émirats arabes unis et en Jordanie.
Bien que très attaché au Liban, Pierre Ziadeh pense à des débouchés à l’étranger pour quasiment toutes ses marques. Après Kampai, Gavi doit s’installer en Arabie saoudite et L’Avenue du Parc à Londres. Mais toujours à l’écoute de nouvelles opportunités, Pierre Ziadeh envisage aujourd’hui d’investir au Liban, mais en dehors de la capitale. Comme d’autres acteurs du secteur, il a les yeux rivés sur Dbayé et Broummana.