Après délibération en Conseil des ministres, le Conseil national d’information audiovisuelle a refusé d’octroyer des licences de fonctionnement à :
• La société “Sawt Beyrouth wa Loubnan al-wahed” (radio 1re catégorie pour la diffusion de nouvelles et de programmes politiques sur l’ensemble des cazas libanais) parce que «80 % des actionnaires appartiennent à une même communauté religieuse et parce que de nombreuses communautés spirituelles ne font pas partie des actionnaires».
• La société “Al-Tage pour la production – Radio Mirage” (radio 2e catégorie) parce que les dépenses de fonctionnement de la première année, estimées à 129 millions de LL, sont inférieures au niveau exigé pour la création d’une radio de deuxième catégorie.