À très court terme, le plan du ministère de l’Énergie prévoyait de combler une partie du déficit de capacité de production cet été, en louant des barges ou de petits générateurs d’une puissance totale de 250 MW qui serviraient aussi d’appoint dans les deux-trois années à venir, le temps de réhabiliter et/ou de remplacer les anciennes centrales. Autre possibilité, acheter du courant à la Turquie. Mais étant donné son adoption tardive, la réalisation de ce plan d’urgence semble compromise. « J’ai rédigé le plan en mars, on peut encore faire quelque chose, mais le résultat ne paraîtra pas avant septembre », explique le ministre Gebran Bassil.
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