• Sur-pondération des placements alternatifs.

Même malmené, le marché des placements alternatifs (“hedge funds”) a su tirer son épingle du jeu ne serait-ce que par comparaison avec les marchés des actions. Traditionnellement, les banques recommandent de placer sur cette classe d'actifs entre 5 et 10 % de l'allocation. Mais dans le contexte actuel, elles estiment en général que, dans le cadre d'une diversification de portefeuille, il faut revoir à la hausse le pourcentage alloué aux fonds alternatifs (entre 15 et 30 % selon les banques). Cela étant, elles préconisent également de sélectionner de grands fonds alternatifs (gérant plus de 10 milliards) avec plusieurs fonds et plusieurs stratégies.
D’autres sociétés financières, à l’image de LCB Capital Management, considèrent que l’investisseur devrait porter une attention à certains fonds spécialisés : les “hedge funds” centrés sur les initiatives de partenariats publics, ceux associant assurance-vie et investissement, peu corrélés aux autres classes d’actifs, les immobiliers et les fonds “infrastructures”, destinés au développement des investissements des infrastructures dans le monde.