«Une application mobile offre des fonctionnalités, là où l’interface mobile n’en a pas », explique Kamal Chelhot, directeur marketing de L’Orient-Le Jour et du Commerce du Levant. Avec l’application mobile d’un quotidien par exemple, le lecteur peut télécharger son journal le matin chez lui, le lire plus tard sans être connecté, voir une vidéo, prendre des photos et les envoyer… alors qu’avec une interface mobile, il ne peut que naviguer à travers le journal, en étant nécessairement connecté.
L’interface mobile a l’avantage d’être lisible à partir de tous les téléphones mobiles existants, même si le site perd en ergonomie. Elle est facile à réaliser, il suffit de remettre en forme les informations déjà disponibles sur le site, elle est donc peu coûteuse. La création d'une application mobile est plus complexe, du fait de la diversité des systèmes d’exploitation et des configurations des portables aujourd’hui. « Il existe cinq grands systèmes d’exploitation pour les téléphones mobiles : IOS d’Apple (pour iPhone, iPod et iPad), Windows 7 de Microsoft, Androïd de Google, Symbian de Nokia et BlackBerry OS de BlackBerry », explique Sami Tuéni, directeur général de Naharnet.com. Les applications développées doivent prendre en compte les diverses tailles d'écran et de clavier des téléphones utilisant chacun des systèmes d'exploitation.
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