Barclays Capital a revu à la baisse ses prévisions de croissance pour le Liban à 1,8% pour 2011 contre 3% prévus en début d’année.
Cette révision est due aux retombées de la crise syrienne sur l’économie libanaise, notamment sur la consommation et sur les secteurs de la construction et du tourisme, explique Barclays Capital dans un rapport.
Le rapport prévoit également une détérioration de la balance des services et un déficit courant de 12,5% du PIB en 2011, contre 10% en 2010.
En outre, Barclays prévoit une détérioration des finances publiques, le déficit budgétaire devant s’élever à 7,6% du PIB contre 7,4% en 2010.