Business Monitor International (BMI) prévoit un taux de croissance de 3,2% au Liban en 2012 contre un taux estimé à 1,6% en 2011.

La croissance élevée enregistrée entre 2007 et 2010 résulte de la relance économique qui a suivi la guerre de 2006, un ralentissement de l’activité est donc normal une fois que l’écart créé par la guerre est comblé, estime BMI.

Le ralentissement est aussi dû à la situation régionale, notamment en Syrie.

Selon BMI, la consommation, les échanges et les investissements semblent s’essouffler, mais l’économie n’est toujours pas en récession.

La stabilité du secteur bancaire, les réserves de change de la Banque centrale et de fortes entrées de capitaux permettraient de maintenir la stabilité économique, selon la même source.