Le gouvernement a confirmé les démarches entreprises en vue de privatiser la chaîne de télévision nationale. Le ministre de l’Information, Anouar el-Khalil, a indiqué qu’il a entrepris des tractations avec l’homme d’affaires saoudien Saleh Kamel, propriétaire de la chaîne ART, la télévision française et la Banque mondiale, de manière à résorber le déficit cumulé par Télé-Liban. La participation étrangère n’englobera pas, toutefois, les bulletins d’information et les programmes politiques qui resteront sous le contrôle de l’État.