Dans son étude semi-annuelle sur les perspectives économiques pour la région, le Fonds monétaire international a prévu une croissance à 2% pour le Liban en 2012 contre un taux de 5,3% pour la région MENA, 1,2% pour les pays importateurs de pétrole et de 2% pour les économies arabes en transition excluant la Libye.
Par ailleurs, le FMI a prévu un PIB réel à hauteur de 2,5% en 2013 contre un taux de 3,6% pour les pays de la région MENA, 3,3% pour les importateurs de pétrole et 3,6% pour les économies arabes en transition à l’exclusion de la Libye. De telles prévisions de croissance pour le Liban feraient du pays la quatrième économie la plus lente dans le monde arabe et la région MENA.
Le FMI a estimé le PIB nominal du pays à 41,8 milliards de dollars pour 2012 contre 39 milliards de dollars en 2011, représentant 7,9% du PIB total des importateurs de pétrole. L’institution internationale a en outre prévu un taux d’inflation moyen à 6,5% pour 2012 contre 10,9% pour les pays de la région MENA, 9% pour les importateurs de pétrole et 7,8% pour les économies arabes en transition à l’exclusion de la Libye.
En parallèle, le FMI s’attend à un déficit budgétaire à hauteur de 7,9% du PIB en 2012 et 8,3% du PIB en 2013, contre un taux de 6,1% du PIB en 2011. Le FMI a en outre prévu des recettes publiques à 23,8% du PIB pour 2012 contre un chiffre de 35,5% du PIB pour les pays de la région MENA, 23,1% du PIB pour les importateurs de pétrole et 24% du PIB pour les économies arabes en transition à l’exclusion de la Lybie.
Concernant les dépenses publiques, le FMI a considéré un taux à 31,8% du PIB contre 33,3% pour les pays de la région MENA, 32,6% du PIB pour les importateurs de pétrole et 34,2% du PIB pour les économies arabes en transition excluant la Libye. Par ailleurs, l’institution a estimé que la dette publique libanaise allait diminuer à 135,2% du PIB fin 2012 en comparaison avec un taux égal à 137,4% du PIB fin 2011. Elle a en outre prévu le total de la dette externe brute à 172,3% du PIB fin 2012 et un chiffre à hauteur de 170,9% du PIB pour la fin 2013, contre 173,8% du PIB fin 2011 et contre un taux de 27% du PIB pour les pays de la région MENA fin 2012 et 24,6% du PIB pour la fin 2013.
Par ailleurs, le FMI a prévu un PIB réel à hauteur de 2,5% en 2013 contre un taux de 3,6% pour les pays de la région MENA, 3,3% pour les importateurs de pétrole et 3,6% pour les économies arabes en transition à l’exclusion de la Libye. De telles prévisions de croissance pour le Liban feraient du pays la quatrième économie la plus lente dans le monde arabe et la région MENA.
Le FMI a estimé le PIB nominal du pays à 41,8 milliards de dollars pour 2012 contre 39 milliards de dollars en 2011, représentant 7,9% du PIB total des importateurs de pétrole. L’institution internationale a en outre prévu un taux d’inflation moyen à 6,5% pour 2012 contre 10,9% pour les pays de la région MENA, 9% pour les importateurs de pétrole et 7,8% pour les économies arabes en transition à l’exclusion de la Libye.
En parallèle, le FMI s’attend à un déficit budgétaire à hauteur de 7,9% du PIB en 2012 et 8,3% du PIB en 2013, contre un taux de 6,1% du PIB en 2011. Le FMI a en outre prévu des recettes publiques à 23,8% du PIB pour 2012 contre un chiffre de 35,5% du PIB pour les pays de la région MENA, 23,1% du PIB pour les importateurs de pétrole et 24% du PIB pour les économies arabes en transition à l’exclusion de la Lybie.
Concernant les dépenses publiques, le FMI a considéré un taux à 31,8% du PIB contre 33,3% pour les pays de la région MENA, 32,6% du PIB pour les importateurs de pétrole et 34,2% du PIB pour les économies arabes en transition excluant la Libye. Par ailleurs, l’institution a estimé que la dette publique libanaise allait diminuer à 135,2% du PIB fin 2012 en comparaison avec un taux égal à 137,4% du PIB fin 2011. Elle a en outre prévu le total de la dette externe brute à 172,3% du PIB fin 2012 et un chiffre à hauteur de 170,9% du PIB pour la fin 2013, contre 173,8% du PIB fin 2011 et contre un taux de 27% du PIB pour les pays de la région MENA fin 2012 et 24,6% du PIB pour la fin 2013.