L’Institut international de la finance (IIF) a indiqué dans son dernier rapport pour la région MENA que "l’escalade de la violence en Syrie continue de menacer la stabilité politique et économique du Liban".
Selon l'IIF, la croissance réelle du PIB pour l’année 2012 est estimée à 0,6%, contre des taux de 1,8% en 2011 et de 7% en 2010. L’amélioration de la sécurité interne, combinée à un consensus politique et à des réformes structurelles et budgétaires, pourrait booster la croissance économique à 3,5% en 2013.
Le rapport de l’IIF souligne la solidité du système bancaire libanais, soutenu par d’importants dépôts et des transferts conséquents effectués par les émigrés libanais.
Enfin, et toujours selon l'IIF, les économies non pétrolières de la région (l’Égypte, la Jordanie, le Liban, le Maroc, la Tunisie et la Syrie) continueront à faire face aux défis de la faible croissance, des larges déficits de la balance courante et budgétaire, et du chômage.
Selon l'IIF, la croissance réelle du PIB pour l’année 2012 est estimée à 0,6%, contre des taux de 1,8% en 2011 et de 7% en 2010. L’amélioration de la sécurité interne, combinée à un consensus politique et à des réformes structurelles et budgétaires, pourrait booster la croissance économique à 3,5% en 2013.
Le rapport de l’IIF souligne la solidité du système bancaire libanais, soutenu par d’importants dépôts et des transferts conséquents effectués par les émigrés libanais.
Enfin, et toujours selon l'IIF, les économies non pétrolières de la région (l’Égypte, la Jordanie, le Liban, le Maroc, la Tunisie et la Syrie) continueront à faire face aux défis de la faible croissance, des larges déficits de la balance courante et budgétaire, et du chômage.