L’année 2012 aura enregistré un rythme de dépenses publicitaires en dents de scie : elles restent cependant stables en variation annuelle, à 1,2 milliard de dollars à prix tarif (hors escomptes et remises très importants dans le secteur), grâce à trois excellents mois de septembre, octobre et novembre. Tous les supports sont concernés par cette stagnation. Mais l’augmentation relative du chiffre d’affaires de la radio (0,3 %) permet à cette dernière de gagner des parts de marché au détriment de la presse magazine, qui perd 0,1 %. La télévision accapare toujours le gros du marché (76,4 %).
Pour le seul mois de décembre 2012, les dépenses publicitaires restent stables (+0,7 %), à 136,5 millions à prix tarifs.