Electricité du Liban (EDL) devrait fournir à la barge turque Fatmagül Sultan le carburant adéquat afin de redémarrer la production électrique, a affirmé le groupe turc Karadeniz Holding à qui appartient le navire.
"EDL va nous fournir le carburant adéquat qui permettra la reprise normale de la production électrique", a indiqué le groupe dans un communiqué.
EDL avait affirmé fin avril que la barge turque était "complètement mise à l’arrêt" en raison d’un problème de carburant. Dans son communiqué, EDL rejetait la responsabilité de la panne sur le groupe Karadeniz Holding. "(Electricité du Liban) a fourni le carburant nécessaire pour le fonctionnement de la centrale électrique flottante, conformément aux critères précisés dans l’appendice B de l’annexe 3 du contrat".
La barge turque est depuis le 4 avril officiellement reliée au réseau national et l’alimente avec 188 mégawatts. EDL soulignait n’avoir reçu une lettre de protestation de la compagnie Karadeniz Holding que deux semaines plus tard, affirmant que le type de carburant fourni ne correspondait pas aux critères requis pour le fonctionnement de la barge.
Face à cette situation, le président Michel Sleiman avait demandé une enquête pour déterminer les causes de la mise en arrêt de la barge turque qui devait fournir au réseau électrique quelque 205 mégawatts (MW) supplémentaires et qui a coûté au Liban 392 millions de dollars.
"EDL va nous fournir le carburant adéquat qui permettra la reprise normale de la production électrique", a indiqué le groupe dans un communiqué.
EDL avait affirmé fin avril que la barge turque était "complètement mise à l’arrêt" en raison d’un problème de carburant. Dans son communiqué, EDL rejetait la responsabilité de la panne sur le groupe Karadeniz Holding. "(Electricité du Liban) a fourni le carburant nécessaire pour le fonctionnement de la centrale électrique flottante, conformément aux critères précisés dans l’appendice B de l’annexe 3 du contrat".
La barge turque est depuis le 4 avril officiellement reliée au réseau national et l’alimente avec 188 mégawatts. EDL soulignait n’avoir reçu une lettre de protestation de la compagnie Karadeniz Holding que deux semaines plus tard, affirmant que le type de carburant fourni ne correspondait pas aux critères requis pour le fonctionnement de la barge.
Face à cette situation, le président Michel Sleiman avait demandé une enquête pour déterminer les causes de la mise en arrêt de la barge turque qui devait fournir au réseau électrique quelque 205 mégawatts (MW) supplémentaires et qui a coûté au Liban 392 millions de dollars.