La barge turque Orhan Bey a été reliée mardi à la centrale électrique de Jiyé, au sud de Beyrouth, et est prête à alimenter le réseau libanais avec 82 mégawatts (MW). Elle rejoint le navire Fatmagül Sultan, relié depuis le 4 avril au réseau national à travers la centrale électrique de Zouk qu’il alimente avec 188 MW.
Avec la capacité d’Orhan Bey, le réseau électrique libanais sera alimenté de270 MW pour les trois ans à venir, selon un communiqué du groupe turc Karadeniz Holding auxquels les deux navires appartiennent.
Fatmagül Sultan a connu une série de déboires depuis son arrivée au Liban. La centrale électrique flottante a en effet connu une avarie de plusieurs semaines, mettant à l’arrêt toute sa production électrique entre le 22 avril et le 4 juin.
Le Liban a versé en décembre à la compagnie turque Karadeniz la somme de 360 millions de dollars qu’il lui devait au titre des frais d’exploitation des navires. Ce projet devrait permettre d’augmenter la production d’électricité de 270 MW. La capacité disponible réelle du Liban est de 1 500 MW aujourd’hui pour une demande d’environ 2 400 MW, voire beaucoup plus (environ 3 000 MW) durant la saison estivale.
Les centrales flottantes de Karadeniz, capables d’opérer au carburant liquide comme au gaz naturel, fournissent du courant continu et fiable, en mesure d’alimenter tout le territoire et non seulement à proximité de leur point d’ancrage.
Avec la capacité d’Orhan Bey, le réseau électrique libanais sera alimenté de270 MW pour les trois ans à venir, selon un communiqué du groupe turc Karadeniz Holding auxquels les deux navires appartiennent.
Fatmagül Sultan a connu une série de déboires depuis son arrivée au Liban. La centrale électrique flottante a en effet connu une avarie de plusieurs semaines, mettant à l’arrêt toute sa production électrique entre le 22 avril et le 4 juin.
Le Liban a versé en décembre à la compagnie turque Karadeniz la somme de 360 millions de dollars qu’il lui devait au titre des frais d’exploitation des navires. Ce projet devrait permettre d’augmenter la production d’électricité de 270 MW. La capacité disponible réelle du Liban est de 1 500 MW aujourd’hui pour une demande d’environ 2 400 MW, voire beaucoup plus (environ 3 000 MW) durant la saison estivale.
Les centrales flottantes de Karadeniz, capables d’opérer au carburant liquide comme au gaz naturel, fournissent du courant continu et fiable, en mesure d’alimenter tout le territoire et non seulement à proximité de leur point d’ancrage.