Le Fonds monétaire international (FMI) a revu à la baisse ses prévisions de croissance pour le Liban à 1,5% pour 2013, contre une estimation initiale de 2% et des taux de 2,1% pour la région MENA, 2,8% pour les pays importateurs de pétrole de la région et 1,9% pour les économies du Maghreb.
Le FMI a en outre prévu des taux de croissance de 4,5% pour les pays émergents et 2,9% pour l’économie mondiale. Le FMI a souligné que l’afflux croissant de réfugiés syriens au Liban continuera de peser sur l’activité et d’affecter la confiance du consommateur. Selon le Fonds, cela pèsera davantage sur les finances publiques tout en mettant sous tension les balances externes.
Le taux de croissance prévu pour le Liban en 2013 fera du pays la seconde économie la plus lente parmi 19 pays de la région MENA, avec un taux de croissance seulement plus élevé que celui du Koweït (0,8%). La Libye et l’Iran sont, quant à eux, les deux seules économies de la région à afficher un taux de croissance du PIB négatif pour 2013, lequel diminuera de 5,1% et 1,5%, respectivement.
Pour 2014, le FMI a prévu un taux de croissance du PIB libanais de 1,5%, contre 3,8% pour les pays de la région et 2,7% pour ceux du Maghreb.
Le FMI a en outre prévu des taux de croissance de 4,5% pour les pays émergents et 2,9% pour l’économie mondiale. Le FMI a souligné que l’afflux croissant de réfugiés syriens au Liban continuera de peser sur l’activité et d’affecter la confiance du consommateur. Selon le Fonds, cela pèsera davantage sur les finances publiques tout en mettant sous tension les balances externes.
Le taux de croissance prévu pour le Liban en 2013 fera du pays la seconde économie la plus lente parmi 19 pays de la région MENA, avec un taux de croissance seulement plus élevé que celui du Koweït (0,8%). La Libye et l’Iran sont, quant à eux, les deux seules économies de la région à afficher un taux de croissance du PIB négatif pour 2013, lequel diminuera de 5,1% et 1,5%, respectivement.
Pour 2014, le FMI a prévu un taux de croissance du PIB libanais de 1,5%, contre 3,8% pour les pays de la région et 2,7% pour ceux du Maghreb.