Le gouverneur de la Banque du Liban (BDL), Riad Salamé, a affirmé que les réfugiés syriens coûtent au Liban un milliard de dollars par an directement, et indirectement 3,5 milliards de dollars. Salamé s'est basé sur une étude réalisée par la Banque mondiale.
"Le dossier des réfugiés syriens, malgré notre peine à l'égard de leurs souffrances, représente un fardeau pour le Liban, son économie et sa stabilité sociale", a affirmé Salamé, à l'occasion du 50e anniversaire de la création de la BDL.
"Même s'il y a eu une amélioration du commerce intérieur en raison de la présence des réfugiés syriens, cela ne compense pas les coûts supportés année après année par le Liban", qui accueille plus d'un million de réfugiés, a-t-il précisé.
"Le dossier des réfugiés syriens, malgré notre peine à l'égard de leurs souffrances, représente un fardeau pour le Liban, son économie et sa stabilité sociale", a affirmé Salamé, à l'occasion du 50e anniversaire de la création de la BDL.
"Même s'il y a eu une amélioration du commerce intérieur en raison de la présence des réfugiés syriens, cela ne compense pas les coûts supportés année après année par le Liban", qui accueille plus d'un million de réfugiés, a-t-il précisé.