Le Fonds monétaire international (FMI) appelle dans son dernier rapport le Liban à engager des réformes pour mettre un terme à l’affaiblissement de son économie.
« La situation macroéconomique du Liban s'est détériorée de manière généralisée depuis deux ans. L'activité économique demeurera faible en l'absence d'une sortie de crise en Syrie. L’afflux de réfugiés syriens exacerbe le chômage et la pauvreté et a un impact important sur les services publics », affirme le FMI.
Le Fonds prévoit un taux de croissance de 1,8% en 2014, contre 1,5% en 2013 et 2,5% en 2012, en raison de la situation politique intérieure et des événements sécuritaires dans la région qui continuent de peser lourdement sur l'économie libanaise. Le rapport pointe aussi du doigt le ralentissement de l’activité immobilière, de la construction et du tourisme qui pèse sur la croissance au Liban.
Le FMI appelle à une réforme du secteur de l’électricité et à la hausse des tarifs pour limiter le déficit dans les comptes de l’EDL. Il encourage les autorités à prendre des mesures visant à augmenter les recettes, en élargissant l'assiette fiscale et en renforçant la collecte.
Il met par ailleurs en garde contre la détérioration des finances publiques et une hausse des taux d'intérêt mondiaux dont les conséquences pourraient être négatives pour le Liban.
Le FMI prévoit une augmentation de la dette passant de 141% du PIB en 2013 à 145% du PIB en 2014 et 148% du PIB en 2015.
« La situation macroéconomique du Liban s'est détériorée de manière généralisée depuis deux ans. L'activité économique demeurera faible en l'absence d'une sortie de crise en Syrie. L’afflux de réfugiés syriens exacerbe le chômage et la pauvreté et a un impact important sur les services publics », affirme le FMI.
Le Fonds prévoit un taux de croissance de 1,8% en 2014, contre 1,5% en 2013 et 2,5% en 2012, en raison de la situation politique intérieure et des événements sécuritaires dans la région qui continuent de peser lourdement sur l'économie libanaise. Le rapport pointe aussi du doigt le ralentissement de l’activité immobilière, de la construction et du tourisme qui pèse sur la croissance au Liban.
Le FMI appelle à une réforme du secteur de l’électricité et à la hausse des tarifs pour limiter le déficit dans les comptes de l’EDL. Il encourage les autorités à prendre des mesures visant à augmenter les recettes, en élargissant l'assiette fiscale et en renforçant la collecte.
Il met par ailleurs en garde contre la détérioration des finances publiques et une hausse des taux d'intérêt mondiaux dont les conséquences pourraient être négatives pour le Liban.
Le FMI prévoit une augmentation de la dette passant de 141% du PIB en 2013 à 145% du PIB en 2014 et 148% du PIB en 2015.