La municipalité de Beyrouth est sur le point de lancer un projet de 47 millions de dollars pour rénover le réseau d'éclairage public dans la capitale, selon le conseiller municipal Rachid Achkar. L'étude de faisabilité a été confiée à Aartill, un cabinet de conseil éclairagiste français, associé au bureau d'étude libanais 4B Architects. Il s'agit de remplacer les 10 000 lampadaires équipés de lampes à sodium haute pression actuellement en place par 17 000 ampoules à Led, tout en réalisant une économie d'énergie de 25 %.
Le projet sera probablement étalé sur cinq ans, ce qui représente une enveloppe annuelle comprise entre 6 et 12 millions de dollars. La zone concernée se trouve dans un périmètre délimité par la rive est du Fleuve de Beyrouth, le secteur de la cité sportive Camille Chamoun et l'axe côtier qui va du port de Beyrouth à la Corniche, à l'exclusion de l'enceinte de Solidere. Selon M. Achkar, le démarrage du projet est encore tributaire de l'accord final du conseil municipal et du mohafez pour établir le cahier des charges officiel et lancer l'appel d'offres pour les travaux.
L'étude de faisabilité a duré un peu moins de deux ans et a été financée par la région Île-de-France dans le cadre d'un programme d'aménagement des espaces publics de Beyrouth, mené en coopération avec la municipalité, explique Majdi Hajjar, qui représente la société Aartill au Moyen-Orient. Associée à 4B Architect, cette dernière avait alors remporté l'appel d'offres lancé par le conseil régional d'Île-de-France. Une étude de ce type sur le marché français coûte entre 250 000 et 300 000 euros, dit M. Hajjar, sans préciser le montant facturé pour celle de Beyrouth. Le cabinet Aartill sera « probablement » amené à participer à l'élaboration du cahier des charges ainsi qu'à la rédaction du dossier d'appel d'offres, ajoute-t-il.
Aartill a déjà contribué à la conception de l'éclairage de la tour Sama ou du musée Sursock à Beyrouth. En France, ce cabinet de conseil a mené à bien un projet similaire à celui de Beyrouth à Noisy-le-Grand ou encore à Saint-Malo.
Le projet sera probablement étalé sur cinq ans, ce qui représente une enveloppe annuelle comprise entre 6 et 12 millions de dollars. La zone concernée se trouve dans un périmètre délimité par la rive est du Fleuve de Beyrouth, le secteur de la cité sportive Camille Chamoun et l'axe côtier qui va du port de Beyrouth à la Corniche, à l'exclusion de l'enceinte de Solidere. Selon M. Achkar, le démarrage du projet est encore tributaire de l'accord final du conseil municipal et du mohafez pour établir le cahier des charges officiel et lancer l'appel d'offres pour les travaux.
L'étude de faisabilité a duré un peu moins de deux ans et a été financée par la région Île-de-France dans le cadre d'un programme d'aménagement des espaces publics de Beyrouth, mené en coopération avec la municipalité, explique Majdi Hajjar, qui représente la société Aartill au Moyen-Orient. Associée à 4B Architect, cette dernière avait alors remporté l'appel d'offres lancé par le conseil régional d'Île-de-France. Une étude de ce type sur le marché français coûte entre 250 000 et 300 000 euros, dit M. Hajjar, sans préciser le montant facturé pour celle de Beyrouth. Le cabinet Aartill sera « probablement » amené à participer à l'élaboration du cahier des charges ainsi qu'à la rédaction du dossier d'appel d'offres, ajoute-t-il.
Aartill a déjà contribué à la conception de l'éclairage de la tour Sama ou du musée Sursock à Beyrouth. En France, ce cabinet de conseil a mené à bien un projet similaire à celui de Beyrouth à Noisy-le-Grand ou encore à Saint-Malo.