Le ministre de l'Agriculture, Akram Chehayeb, a fixé le 24 février le prix du litre de lait à 1 000 livres, au lieu de 1 100 livres, lors d'une réunion avec les producteurs de lait.
Akram Chehayeb a annoncé dans la foulée la création d'une cellule chargée de recevoir les plaintes au ministère de l'Agriculture. Mi-décembre, le ministre et ses homologues de la Santé et de l'Économie, Waël Bou Faour et Alain Hakim, avaient annoncé avoir abouti à un accord sur un prix fixe du lait à 1 100 livres le litre. Cette décision avait été prise avec les éleveurs de bétail, les producteurs de lait et les propriétaires de certaines laiteries.
« Le marché local est réduit et les marchés d'exportation ont subi les conséquences des crises régionales. Ainsi, l'Irak qui importait une grande quantité de lait libanais, n'en importe plus du tout », a affirmé Akram Chehayeb, soulignant que sa décision visait à protéger le secteur du lait au Liban.
Akram Chehayeb a annoncé dans la foulée la création d'une cellule chargée de recevoir les plaintes au ministère de l'Agriculture. Mi-décembre, le ministre et ses homologues de la Santé et de l'Économie, Waël Bou Faour et Alain Hakim, avaient annoncé avoir abouti à un accord sur un prix fixe du lait à 1 100 livres le litre. Cette décision avait été prise avec les éleveurs de bétail, les producteurs de lait et les propriétaires de certaines laiteries.
« Le marché local est réduit et les marchés d'exportation ont subi les conséquences des crises régionales. Ainsi, l'Irak qui importait une grande quantité de lait libanais, n'en importe plus du tout », a affirmé Akram Chehayeb, soulignant que sa décision visait à protéger le secteur du lait au Liban.