Il aura fallu près de huit mois au gouvernement pour trouver un semblant de solution à l’une des crises sanitaires les plus graves de l’histoire du pays.
Huit mois de tergiversations, de revirements, de marchandages – et des centaines de milliers de tonnes d’ordures déversées dans la nature – pour aboutir à un plan provisoire, qui témoigne une nouvelle fois de l’incapacité des pouvoirs publics à mettre en œuvre des politiques guidées par l’intérêt général. Car si l’affaire a eu le mérite d’alerter la société civile sur les dysfonctionnements qui caractérisent la gestion de ce secteur, elle est loin d’avoir poussé la classe politique à modifier son approche du dossier. Retour sur une crise aussi symptomatique que scandaleuse.
Huit mois de tergiversations, de revirements, de marchandages – et des centaines de milliers de tonnes d’ordures déversées dans la nature – pour aboutir à un plan provisoire, qui témoigne une nouvelle fois de l’incapacité des pouvoirs publics à mettre en œuvre des politiques guidées par l’intérêt général. Car si l’affaire a eu le mérite d’alerter la société civile sur les dysfonctionnements qui caractérisent la gestion de ce secteur, elle est loin d’avoir poussé la classe politique à modifier son approche du dossier. Retour sur une crise aussi symptomatique que scandaleuse.