Le ministre de l’Agriculture, Akram Chehayeb, a annoncé hier la saisie dans la banlieue nord de Beyrouth de quelque 40 tonnes de poulet avariées, destinées à être vendues sur les marchés libanais.
Selon le ministre, « les étiquettes provenaient d’Ukraine, de Turquie et de Syrie ». L’importateur achetait les poulets congelés et les revendait ensuite comme « produit frais. »
Selon Akram Chehayeb, ces viandes de contrebande représente un danger sanitaire pour les consommateurs libanais compte-tenu de piètres conditions sanitaires, en particuliuer le non respect de la chaîne du froid.
Depuis le conflit syrien, le secteur avicole subi une concurrence accrue des produits illégaux, en provenance notamment d’Ukraine et transitant par la frontière libano-syrienne.
L’introduction de ces viandes constitue une concurrence déloyale pour les producteurs libanais, dont les prix ont sensiblement chuté : le kilo de poulet avoisine aujourd'hui 1,40 dollar le kilo alors que le coût de production tourne autour d’1,70 dollar pour les producteurs indépendants.
Selon le ministre, « les étiquettes provenaient d’Ukraine, de Turquie et de Syrie ». L’importateur achetait les poulets congelés et les revendait ensuite comme « produit frais. »
Selon Akram Chehayeb, ces viandes de contrebande représente un danger sanitaire pour les consommateurs libanais compte-tenu de piètres conditions sanitaires, en particuliuer le non respect de la chaîne du froid.
Depuis le conflit syrien, le secteur avicole subi une concurrence accrue des produits illégaux, en provenance notamment d’Ukraine et transitant par la frontière libano-syrienne.
L’introduction de ces viandes constitue une concurrence déloyale pour les producteurs libanais, dont les prix ont sensiblement chuté : le kilo de poulet avoisine aujourd'hui 1,40 dollar le kilo alors que le coût de production tourne autour d’1,70 dollar pour les producteurs indépendants.