Le 19 juillet dernier, l’entreprise pharmaceutique Algorithm a posé la première pierre de sa future usine à Zekrite, dans la région du Mont Liban. Des représentants de l’Autorité de développement des investissements au Liban (IDAL), qui a facilité l’obtention des différents permis nécessaires, participaient à la cérémonie de lancement. La construction de l’usine, d’une superficie de 20 000 m2, devrait s’achever début 2018.
Algorithm a investi 12,4 millions de dollars sur ses fonds propres pour financer ce nouveau site de production de tablettes de médicaments. A terme, il devrait créer 360 emplois. « L’objectif est d’augmenter notre capacité de production pour répondre aux besoins du marché », assure Stéphanie Salameh, ingénieure électromécanique, chargée du projet au sein du groupe pharmaceutique. En 2014, Business Monitor International (BMI) estimait la taille du marché pharmaceutique au Liban à 1,8 milliard de dollars en 2018.
Pour IDAL, l’usine de Zekrite doit permettre de mieux desservir le marché local du médicament, dominé par les grandes firmes étrangères. « On importe encore 91 % des produits pharmaceutiques consommés au Liban ».
Si Algorithm se positionne sur le marché local, qui représente, selon Stéphanie Salameh, entre 40 et 50 % des ventes du groupe libanais, la société mise également sur l’exportation, en particulier vers les pays de la région. « Nous exportons déjà en Arabie saoudite ainsi que dans les pays du Golfe, ou encore à Chypre. La nouvelle usine sera plus performante. Nous espérons ainsi obtenir de nouveaux contrats de production ou de packaging ».
Algorithm a investi 12,4 millions de dollars sur ses fonds propres pour financer ce nouveau site de production de tablettes de médicaments. A terme, il devrait créer 360 emplois. « L’objectif est d’augmenter notre capacité de production pour répondre aux besoins du marché », assure Stéphanie Salameh, ingénieure électromécanique, chargée du projet au sein du groupe pharmaceutique. En 2014, Business Monitor International (BMI) estimait la taille du marché pharmaceutique au Liban à 1,8 milliard de dollars en 2018.
Pour IDAL, l’usine de Zekrite doit permettre de mieux desservir le marché local du médicament, dominé par les grandes firmes étrangères. « On importe encore 91 % des produits pharmaceutiques consommés au Liban ».
Si Algorithm se positionne sur le marché local, qui représente, selon Stéphanie Salameh, entre 40 et 50 % des ventes du groupe libanais, la société mise également sur l’exportation, en particulier vers les pays de la région. « Nous exportons déjà en Arabie saoudite ainsi que dans les pays du Golfe, ou encore à Chypre. La nouvelle usine sera plus performante. Nous espérons ainsi obtenir de nouveaux contrats de production ou de packaging ».