
Le gel des importations syriennes, annoncé le 9 juin, avait pour objectif de protéger les « exploitations libanaises et leur production » et devait être appliqué jusqu'à fin février 2017.
Le ministre a toutefois souligné que les importations de Syrie seront dorénavant plus réglementées et soumises à une licence préalable, ainsi qu'à des tests de laboratoire. Ces licences seront accordées en fonction des besoins du marché en coopération avec les coopératives agricoles et les syndicats, a-t-il déclaré.