
Selon le Daily Star, le ministère des Finances plaide pour des hausses de la TVA de 10 à 11%, de la taxe sur les intérêts de 5 à 7%, et de l’impôt sur les bénéfices de 15 à 17%. Pour la première fois de l’histoire du Liban, il propose également de taxer les plus-values immobilières à hauteur de 15%.
L’avant-projet table sur un déficit de 5,2 milliards de dollars en 2017, soit 31,75% du total des dépenses et 9,4% du PIB. La dette publique atteindrait à cette date 75 milliards de dollars, soit 145% du PIB.
Le dernier budget voté au Liban remonte à 2005.