La croissance de l’économie libanaise pourrait doubler, et s’établir à 2,5% en 2017, selon une étude réalisée à la mi-janvier par Economena Analytics, un fournisseur de données économiques indépendant. Cet institut régional s’est appuyé sur des entretiens menés auprès notamment d’une vingtaine d’économistes du secteur bancaire libanais pour la publication de ses projections.
Ses prévisions varient selon les différents économistes, de 1 à 4,5 %, avec une moyenne de 2,5 %.
Economena Analytics se montre plus optimistes que celles du Fonds monétaire international (FMI), qui a récemment revu la croissance libanaise à seulement 1 % pour 2016, un niveau identique à 2015, mais inférieur de 0,8 point à celui estimé par la Banque mondiale.
Pour justifier de cet optimiste, Economena Analytics, parie sur la mise en place de différentes réformes comme la possible approbation d’une loi budgétaire par le Parlement pour la première fois depuis 2005. Pour l’institut, d’autres éléments devraient encore améliorer l’économie en 2017 comme le probable maintien du président de la Banque centrale libanaise, Riad Salamé, pour un cinquième mandat. A contrario, l’institut doute que les permis relatifs à la prospection de pétrole et gaz puissent être délivrés cette année, ce qui, toujours selon Economena Analytics, aurait un impact négatif sur la croissance.
Ses prévisions varient selon les différents économistes, de 1 à 4,5 %, avec une moyenne de 2,5 %.
Economena Analytics se montre plus optimistes que celles du Fonds monétaire international (FMI), qui a récemment revu la croissance libanaise à seulement 1 % pour 2016, un niveau identique à 2015, mais inférieur de 0,8 point à celui estimé par la Banque mondiale.
Pour justifier de cet optimiste, Economena Analytics, parie sur la mise en place de différentes réformes comme la possible approbation d’une loi budgétaire par le Parlement pour la première fois depuis 2005. Pour l’institut, d’autres éléments devraient encore améliorer l’économie en 2017 comme le probable maintien du président de la Banque centrale libanaise, Riad Salamé, pour un cinquième mandat. A contrario, l’institut doute que les permis relatifs à la prospection de pétrole et gaz puissent être délivrés cette année, ce qui, toujours selon Economena Analytics, aurait un impact négatif sur la croissance.