L’immeuble qui abritait les locaux du quotidien An-Nahar à Hamra jusqu’en 2004 a été vendu à la Banque du Liban (BDL), pour un montant de 13,5 millions de dollars, a-t-on appris de source informée. Le bien-fonds était inscrit au nom de trois entreprises, toutes directement ou indirectement liées à An-Nahar. Ce journal, détenu à 51 % par la famille Tuéni, est en proie à de graves difficultés financières, qui se sont traduites par un important plan social.
La principale bénéficiaire de la vente est la Société coopérative de la presse, dont les actions sont détenues par la famille Tueni ou des entreprises leur appartenant (An-Nahar et IDARA), selon le registre commercial. La deuxième est la Société des imprimeries coopératives de la presse, propriétaire de deux étages sur les neuf que compte l'immeuble. Les deux principaux actionnaires de cette entreprise sont la Société coopérative de la presse, et la Société générale de presse et d’édition (qui édite le quotidien L’Orient-Le jour). Enfin, la troisième partie impliquée est Bankmed, propriétaire d’un étage.
Cette banque appartient à la famille Hariri, qui est par ailleurs actionnaire d’An-Nahar à hauteur de près de 49% à travers la holding Almal Investment, selon le registre commercial.
La principale bénéficiaire de la vente est la Société coopérative de la presse, dont les actions sont détenues par la famille Tueni ou des entreprises leur appartenant (An-Nahar et IDARA), selon le registre commercial. La deuxième est la Société des imprimeries coopératives de la presse, propriétaire de deux étages sur les neuf que compte l'immeuble. Les deux principaux actionnaires de cette entreprise sont la Société coopérative de la presse, et la Société générale de presse et d’édition (qui édite le quotidien L’Orient-Le jour). Enfin, la troisième partie impliquée est Bankmed, propriétaire d’un étage.
Cette banque appartient à la famille Hariri, qui est par ailleurs actionnaire d’An-Nahar à hauteur de près de 49% à travers la holding Almal Investment, selon le registre commercial.
La transaction s’est faite à « un bon prix pour le Nahar, étant donné le contexte actuel du marché immobilier, d’autant que la Banque du Liban est le seul acheteur potentiel », estime un spécialiste du marché. La Banque centrale a déjà acheté plusieurs bien fonds dans le quartier situé à proximité de son siège.