Quelque 265 sociétés ont répondu à l'appel à manifestation d'intérêt dans le cadre d’un appel d'offres pour l'installation de parcs photovoltaïques d'une capacité totale de 180 mégawatts (MW) dans plusieurs régions du pays, a indiqué le Centre libanais pour la conservation de l'énergie (LCEC). Le secteur privé est appelé à financer, installer et opérer des centrales solaires, d'une capacité moyenne de 30 à 45 MW chacune. Ces entreprises vendront ensuite l’électricité produite à l’opérateur national (EDL), dans le cadre d’un contrat conclu sur 20 ans en général. Le montant total de ces contrats est estimé entre 180 et 228 millions de dollars.
« La capacité proposée par l’ensemble des sociétés intéressées est de 3 500 MW (...) équitablement répartie entre les régions, avec 34 % dans la Békaa et le Hermel, 25 % dans le Sud et Nabatiyé, 21 % dans le Nord et le Akkar, et 16 % dans le Mont-Liban », a précisé le LCEC.
La procédure a attiré en majorité des sociétés libanaises – dont Debbas, Butec, Nour el-Fayha ou Trillium Group – ainsi que des sociétés étrangères – européennes, américaines et arabes –, selon la liste publiée par le centre.
« L'appel à proposition et le cahier des charges seront partagés avec les 265 sociétés intéressées d'ici à mi-avril. Les offres seront ensuite évaluées par un comité interministériel et envoyées pour approbation du Conseil des ministres », a expliqué le directeur du centre, Pierre Khoury.
« La capacité proposée par l’ensemble des sociétés intéressées est de 3 500 MW (...) équitablement répartie entre les régions, avec 34 % dans la Békaa et le Hermel, 25 % dans le Sud et Nabatiyé, 21 % dans le Nord et le Akkar, et 16 % dans le Mont-Liban », a précisé le LCEC.
La procédure a attiré en majorité des sociétés libanaises – dont Debbas, Butec, Nour el-Fayha ou Trillium Group – ainsi que des sociétés étrangères – européennes, américaines et arabes –, selon la liste publiée par le centre.
« L'appel à proposition et le cahier des charges seront partagés avec les 265 sociétés intéressées d'ici à mi-avril. Les offres seront ensuite évaluées par un comité interministériel et envoyées pour approbation du Conseil des ministres », a expliqué le directeur du centre, Pierre Khoury.