La cour d’appel du Mont-Liban a reporté au 08 juin prochain son jugement, relative à la fermeture définitive de la décharge de Costa Brava, située dans la région de Choueffat, à quelques mètres seulement de l’Aéroport de Beyrouth.
Pour l’heure, le site d’enfouissement en cours de réhabilitation reste ouvert et peut accueillir les 1 100 tonnes de déchets par jour, en provenance de la capitale et du Mont-Liban, pour lesquelles il a été prévu.
Fin janvier 2017 en effet, la justice libanaise, saisie en référé, avait requis la fermeture définitive de la décharge, dans un délais de quatre mois.
Cette décision était intervenue alors qu’une importante concentration d’oiseaux avait été constatée dans la proximité de l'Aéroport international de Beyrouth. Plusieurs avions ayant même croisé des mouettes sur les pistes aussi bien à l’atterrissage qu’au décollage.
Toutefois, le tribunal des référés avait laissé jusqu’en juin au gouvernement pour trouver une « solution alternative ».
Avec la décharge de Bourj Hammoud-Bauchrié, celle de Costa-Brava est le second site retenu dans le cadre du « plan d’urgence », présenté par le Conseil des ministres, après près de huit mois de crise en avril 2016.
Pour l’heure, le site d’enfouissement en cours de réhabilitation reste ouvert et peut accueillir les 1 100 tonnes de déchets par jour, en provenance de la capitale et du Mont-Liban, pour lesquelles il a été prévu.
Fin janvier 2017 en effet, la justice libanaise, saisie en référé, avait requis la fermeture définitive de la décharge, dans un délais de quatre mois.
Cette décision était intervenue alors qu’une importante concentration d’oiseaux avait été constatée dans la proximité de l'Aéroport international de Beyrouth. Plusieurs avions ayant même croisé des mouettes sur les pistes aussi bien à l’atterrissage qu’au décollage.
Toutefois, le tribunal des référés avait laissé jusqu’en juin au gouvernement pour trouver une « solution alternative ».
Avec la décharge de Bourj Hammoud-Bauchrié, celle de Costa-Brava est le second site retenu dans le cadre du « plan d’urgence », présenté par le Conseil des ministres, après près de huit mois de crise en avril 2016.