Mi-juillet, Liban Câbles, filiale du fabricant de câbles français Nexans, a inauguré sa propre centrale photovoltaïque. Installée, dans sur les toits de son siège social, à Nahr Ibrahim, cette station se compose de quelque 1900 panneaux photovoltaïques, raccordés au réseau électrique par près de 5 Kms de câbles.
D'une capacité maximale de 601 kilowatts (kW), elle assure 8 % des besoins en électricité de l'entreprise, l’équivalent de la consommation annuelle de 234 foyers libanais sur 25 ans, et lui permet de réduire ses émissions de C02 de 750 tonnes par an, selon les chiffres communiqués par Liban Câbles.
Quatre mois auront été nécessaires pour ériger la structure dont le coût représente un investissement de quelque 650 000 dollars au total, rentabilisés en moins de 3 ans, si on en croit les estimations de Liban Câbles.
« Cette centrale doit suppléer les sept générateurs diesel que la société exploite déjà pour alimenter une partie de ses installations sans dépendre d'Électricité du Liban (EDL) », a expliqué à L'Orient-Le Jour le responsable du projet, Yasser Hachem.
L’entreprise économise ainsi quelque 188 000 dollars sur sa facture de carburant annuelle.
Pour favoriser son passage à l’énergie propre, Liban Câble a bénéficié d’une subvention de 150 000 dollars du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), dans le cadre de son initiative visant à développer les énergies renouvelables.
L’entreprise libanaise a également bénéficié des prêts subventionnés par la Banque du Liban dans le cadre du plan portant sur l'action nationale pour l'efficacité énergétique et l'énergie renouvelable (Neera).
D'une capacité maximale de 601 kilowatts (kW), elle assure 8 % des besoins en électricité de l'entreprise, l’équivalent de la consommation annuelle de 234 foyers libanais sur 25 ans, et lui permet de réduire ses émissions de C02 de 750 tonnes par an, selon les chiffres communiqués par Liban Câbles.
Quatre mois auront été nécessaires pour ériger la structure dont le coût représente un investissement de quelque 650 000 dollars au total, rentabilisés en moins de 3 ans, si on en croit les estimations de Liban Câbles.
« Cette centrale doit suppléer les sept générateurs diesel que la société exploite déjà pour alimenter une partie de ses installations sans dépendre d'Électricité du Liban (EDL) », a expliqué à L'Orient-Le Jour le responsable du projet, Yasser Hachem.
L’entreprise économise ainsi quelque 188 000 dollars sur sa facture de carburant annuelle.
Pour favoriser son passage à l’énergie propre, Liban Câble a bénéficié d’une subvention de 150 000 dollars du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), dans le cadre de son initiative visant à développer les énergies renouvelables.
L’entreprise libanaise a également bénéficié des prêts subventionnés par la Banque du Liban dans le cadre du plan portant sur l'action nationale pour l'efficacité énergétique et l'énergie renouvelable (Neera).