« Nécessité est mère d’industrie », dit un proverbe anglais. C’est particulièrement vrai pour l’industrie des générateurs qui s’est développée durant la guerre, et qui exporte aujourd’hui 70 % de sa production.

Ils sont partout. Dans les quartiers, dans les immeubles, dans les usines… Trente ans après la guerre, les générateurs font toujours partie du paysage. Le seul aspect positif de cette longévité est qu’elle a permis aux industriels libanais d’apprendre à les fabriquer, du moins en partie.

Le premier à avoir senti le filon est Saccal. L’entreprise, créée en 1944, a commencé à assembler des générateurs dès les années 1960. Mais l’activité n’a pris son essor qu’après le déclenchement de la guerre et la destruction des infrastructures électriques.

Les premières coupures de courant poussent les Libanais à recourir à des solut

A WEEKLY EDITION CURATED AND
PERSONALIZED BY OUR EDITORIAL TEAM

SIGN UP TO OUR NEWSLETTER IN ENGLISH

More Info See Sample