Il y a un peu moins d’un an, en avril 2020, le gouvernement de Hassan Diab approuvait un plan de sauvetage qu’on avait qualifié de «douloureux». On se doutait qu’il serait difficile de le mettre en œuvre, mais le scénario alternatif était tellement sombre qu’on refusait de l’envisager. On ne pouvait, ne voulait, pas croire que la classe politique opterait pour un non-sauvetage, mille fois plus douloureux. Le taux de change était alors à un peu plus d
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