Situé sur les hauteurs de Ouyoun el-Simane Kfardebiane (Faraya) dans le secteur du Comité, The Clover est un projet résidentiel de 10 chalets répartis en trois bâtiments indépendants. La superficie des unités varie de 200 à 300 m2 avec trois chambres à coucher. Six chalets disposent d’un jardin de 90 à 180 m2.
La moyenne des prix de vente est de 3 950 dollars le m2. « 50 % du projet a déjà été vendu. Il y a eu deux acquisitions avant le début des travaux et trois autres ont été signées cet été. Le bouche-à-oreille a bien fonctionné », précise Alec Ibrahim, représentant des propriétaires qui avaient déjà construit des chalets à Faraya depuis la fin des années 90.
Si les travaux ont commencé cet été 2008, la livraison est prévue pour la fin 2009, « puisque la construction sera stoppée de novembre 2008 à avril 2009 à cause des conditions climatiques », explique Alec Ibrahim.
The Clover est développé par la société Beirut Real Estate Development One regroupant plusieurs associés libanais dont Richard Jreissati qui a déjà plusieurs affaires immobilières à son actif au Liban (entre autres l’immeuble de bureaux Tabaris 812 à Achrafié) et dans les pays du Golfe.
L’architecture et le management ont été confiés à GMDA (Global Management & Development & Associates).
« Faraya représente une niche très spécifique dans le marché immobilier au Liban. C’est à la fois une destination de sport d’hiver et un centre de villégiature l’été. La station symbolise la détente et les loisirs. Elle est appréciée par l’élite locale, les expatriés libanais et également les touristes arabes », justifie Alec Ibrahim.
La multiplication des projets résidentiels tels que The Clover traduit un nouvel engouement pour la région qui attire des promoteurs déjà connus à Beyrouth dont BREI, SAYFCO, Raëd Abillama et David Mansour. La demande y est croissante pour des chalets, alors que la disponibilité des bons terrains devient limitée. « Preuve du boom actuel, les prix des parcelles ont augmenté d’environ 40 % au cours des six derniers mois », ajoute Alec Ibrahim.
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