Surfant sur une demande croissante, la région de Faraya-Faqra continue d’attirer les promoteurs et les nouveaux projets résidentiels s’y multiplient. Parmi eux, Faqra Heights se situe dans le secteur T3 à l’intérieur du périmètre de Faqra Club à 1 800 mètres d’altitude. « Faqra est un micromarché qui cible une clientèle spécifique, c’est-à-dire une élite locale et expatriée issue de toutes les communautés. La région est ainsi en plein développement et a un fort potentiel. En définitive, ce n’est pas uniquement une station de sport d’hiver, c’est également un lieu de villégiature fréquenté l’été », explique Dany Doumit, le promoteur et le constructeur de Faqra Heights.
Commencés en octobre 2008 puis interrompus par l’hiver, les travaux ont repris en avril 2009. La livraison des villas est prévue pour 2011. « Dans les zones montagneuses comme Faqra, la période de construction n’est que de sept mois par an », précise Dany Doumit.
Dessiné par l’architecte Raymond Aoun, Faqra Heights occupe deux parcelles sur une des collines du club. Le projet propose quatre unités de 250 et 275 m2 et deux villas de 330 et 400 m2. Chaque propriété qui compte de trois à cinq chambres à coucher dispose d’un parking souterrain et d’un jardin de 70 à 150 m2.
Les prix varient entre 4 000 et 4 500 dollars le mètre carré.
« La commercialisation vient de démarrer ce printemps 2009. La demande ne cesse de progresser et arrivera à son maximum cet été quand les gens vont passer leurs vacances en altitude. La multiplication des projets dans la région n’est pas un problème. La compétition existe également à Achrafié comme dans toutes les régions demandées », analyse Dany Doumit.
Dans la promotion immobilière depuis plus de onze ans, Dany Doumit a déjà développé plusieurs projets résidentiels à Bayada et Rabié. Ces derniers immeubles conçus par l’architecte Omar Chéhab proposent des appartements entre 450 et 500 m2 et sont en vente à partir de 2 400 dollars le m2. « Que ce soit à Bayada, Rabié ou Faqra, mon but est de promouvoir des immeubles de qualité avec une architecture unique », conclut Dany Doumit.