À proximité des immeubles d’affaires du secteur Sofil et Charles Malek et du complexe religieux et scolaire La Sagesse, le quartier Debbas a conservé sa vocation résidentielle avec quelques maisons traditionnelles et de nouveaux immeubles d’appartements. Parmi eux, Debbas Residential Building est constitué de 10 unités : neuf simplex de 390 m2 avec trois ou quatre chambres à coucher et un duplex de 690 m2. « Notre famille est présente dans ce quartier depuis 1870. Cette parcelle était l’ancien jardin de notre maison devenue depuis la villa Saikaly », raconte Robert Debbas, propriétaire du projet et président du groupe industriel Debbas.
Commencés en 2006, les travaux confiés à la société de construction Afak seront terminés cet automne 2009.
« Il s’agit avant tout d’un projet familial. Plusieurs unités ont été attribuées à mes enfants et à des proches. À quelques semaines de la livraison des appartements, nous avons encore deux simplex et le duplex à vendre sur la base de 3 500 dollars le m2 au premier étage. Nous n’avons pas voulu un projet commercial. Ainsi, nous avons été pointilleux sur les détails d’architecture afin de minimiser les espaces perdus et intransigeants sur la qualité. Ceci devrait rassurer les prochains résidents », précise Robert Debbas.
Du fait de la dénivellation, le projet a la particularité d’avoir un parking sous pilotis au-dessus de l’entrée. Ceci permet également d’avoir le premier étage résidentiel surélevé par rapport à la prochaine voie rapide qui reliera prochainement Sassine à Mar Mikhaël.
Les chambres ont été orientées vers la villa Saikaly et les réceptions dominent La Sagesse, puis la montagne à partir du 4e étage. « La construction de cette nouvelle voie va donner une meilleure accessibilité au projet qui sera à quelques minutes de l’avenue Charles Hélou. De plus, nous sommes à deux pas d’un supermarché et du centre commercial ABC », insiste Robert Debbas, qui a confié l’architecture au groupe Erga.
Le secteur Debbas bénéficie pleinement de la dynamique immobilière du “triangle de l’or” dont les frontières initiales ne cessent de s’étirer vers les secteurs périphériques de Mar Mitr, Zahret el-Ihsan, Charles Malek et Accaoui où les prix restent inférieurs de 10 à 20 % par rapport à ceux des beaux quartiers.
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