Par Dimitri Linardos et Fanny Lecarpentier
Éditions Vuibert, 2010
236 p., 28,6 €, Librairie Antoine

La sûreté des grands groupes à l’international, dans les zones dites “hostiles”, en guerre ou qualifiées de “grises”, ne se garantit pas en faisant appel à des entreprises de sécurité privées ou à certaines sociétés militaires privées aux compétences discutables en matière de gestion des situations de crise. Pourtant, il arrive régulièrement que des entreprises tombent dans ce piège.
Constatant la multiplicité des acteurs en matière de sécurité, ce livre propose une approche radicalement différente. S’éloignant de la tentation de la “bunkerisation” des sites industriels en milieux difficiles, les auteurs s’attachent à placer la responsabilité sociale d’entreprise au cœur de la stratégie de sûreté des organisations.