Le groupe pétrolier croate INA, contrôlé par le géant hongrois MOL, a indiqué avoir cessé toute activité en Syrie, où il avait réalisé en 2011 l’essentiel de ses bénéfices, pour respecter les sanctions économiques adoptées par l’Union européenne contre Damas.
INA a dit avoir informé son partenaire en Syrie, la société pétrolière nationale General Petroleum Company (GPC), qu’en raison d’une situation de force majeure elle avait décidé de suspendre temporairement ses activités, sans pour autant abandonner les deux contrats d’exploitation du pétrole et du gaz signés en 1998 et en 2004.
La Croatie, qui est appelée à adhérer à l’UE en 2013, a adopté des sanctions contre les autorités syriennes, en assumant ainsi des mesures décidées par Bruxelles.
En 2011, les profits d’INA (345 millions de dollars) ont été notamment liés aux activités développées en Syrie.
Déjà abonné ? Identifiez-vous
Les articles de notre site ne sont pas disponibles en navigation privée.
Pour lire cet article, veuillez ouvrir une fenêtre de navigation standard ou abonnez-vous à partir de 1 $.
Pour lire cet article, veuillez ouvrir une fenêtre de navigation standard ou abonnez-vous à partir de 1 $.