Face à la situation économique instable, la direction de Bank of Beirut n’a pas adopté de politique particulière. « Nous avons une constance dans notre stratégie, basée sur l’offre d’une gamme complète de produits bancaires et financiers, ainsi que la diversification des risques et des sources de revenus », explique le président Salim Sfeir. En 2012, les principaux agrégats bancaires de l’établissement, tels que les dépôts, crédits ou profits, sont en hausse, même si elle est relativement modeste.
Comme la plupart de ses confrères, la Bank of Beirut mise sur un développement à la fois vertical et horizontal. Vertical avec un renforcement des capitaux propres tant par autofinancement que par des émissions publiques ou privées d’actions ordinaires ou préférentielles. Et en proposant tous les services classiques de banque commerciale et de banque de détail ainsi que des services financiers tels que le courtage, la bancassurance, la gestion des actifs ou encore Western Union. La banque se différencie en outre par son offre de banque en ligne pour les entreprises, qui permet entre autres d’effectuer des transactions en temps réel et d’ouvrir des lettres de crédit. L’Electronic Payroll Service permet également aux salariés de toucher leurs salaires directement.
Le développement horizontal, sur lequel la banque mise à moyen terme, se traduit par une expansion géographique locale et internationale. Le groupe est actuellement implanté sur quatre continents. Hormis le Liban avec 57 agences, il détient trois agences au sultanat d’Oman ainsi que deux bureaux de représentation en Irak et aux Émirats arabes unis. En Europe, il est représenté par sa filiale Bank of Beirut (UK) Ltd, ainsi qu’à travers deux agences, l’une à Francfort et l’autre à Chypre. En Afrique, outre un bureau de représentation au Nigeria, la banque s’apprête à ouvrir une agence au Ghana. Mais la grande nouveauté est l’entrée sur le marché australien avec l’acquisition en 2011 de la Laiki Bank Australia Ltd (devenue depuis Beirut Hellenic Bank Ltd) dont dépendent 16 agences.
Comme la plupart de ses confrères, la Bank of Beirut mise sur un développement à la fois vertical et horizontal. Vertical avec un renforcement des capitaux propres tant par autofinancement que par des émissions publiques ou privées d’actions ordinaires ou préférentielles. Et en proposant tous les services classiques de banque commerciale et de banque de détail ainsi que des services financiers tels que le courtage, la bancassurance, la gestion des actifs ou encore Western Union. La banque se différencie en outre par son offre de banque en ligne pour les entreprises, qui permet entre autres d’effectuer des transactions en temps réel et d’ouvrir des lettres de crédit. L’Electronic Payroll Service permet également aux salariés de toucher leurs salaires directement.
Le développement horizontal, sur lequel la banque mise à moyen terme, se traduit par une expansion géographique locale et internationale. Le groupe est actuellement implanté sur quatre continents. Hormis le Liban avec 57 agences, il détient trois agences au sultanat d’Oman ainsi que deux bureaux de représentation en Irak et aux Émirats arabes unis. En Europe, il est représenté par sa filiale Bank of Beirut (UK) Ltd, ainsi qu’à travers deux agences, l’une à Francfort et l’autre à Chypre. En Afrique, outre un bureau de représentation au Nigeria, la banque s’apprête à ouvrir une agence au Ghana. Mais la grande nouveauté est l’entrée sur le marché australien avec l’acquisition en 2011 de la Laiki Bank Australia Ltd (devenue depuis Beirut Hellenic Bank Ltd) dont dépendent 16 agences.
Bénéfices nets consolidés : 52 millions de dollars (+6,9 %, juin 2011/juin 2012) Actifs : 9,9 milliards de dollars (+1,6 %, de janvier à juin 2012) Dépôts : 7,6 milliards de dollars (+1,2 %, de janvier à juin 2012) |