En réponse au développement de la restauration dans les centres commerciaux et dans les rues Makdissi, Gouraud et de Damas, Solidere redouble d’effort pour maintenir le centre-ville sur l’échiquier de la restauration à Beyrouth. Après un passage à vide de 2006 à 2011, le nombre de restaurants et de cafés ne cesse d’augmenter. Les destinations : Zaitunay Bay et la rue Uruguay inaugurés en 2011 symbolisent cette nouvelle dynamique. Selon The Quarterly, le bulletin de la société Ramco Real Estate Advisers, la moyenne des loyers dans les cinq destinations culinaires et festives du centre-ville se situe autour de 1 000 dollars le m2 annuel.
En collaboration avec la société Stow, Solidere a frappé un grand coup avec l’inauguration de Zaitunay Bay. N’en déplaise à ses détracteurs, il est difficile de décrier le cadre de la marina du Saint-Georges ni la propreté du site. Cette destination est indéniablement élégante et haut de gamme. L’offre se structure autour de 17 enseignes principalement des restaurants et des cafés. Unique au Liban, le concept du Zaitunay Bay a séduit rapidement les professionnels qui doivent s’acquitter d’un loyer d’environ 1 000 dollars par m2 par an. Contrairement aux autres emplacements à Beyrouth, la valeur des espaces intérieurs est la même que celle des terrasses. C’est l’une des adresses du centre-ville où le loyer est le plus cher.
Depuis plus d’un an, le nombre de restaurants ne cesse d’augmenter dans les Souks de Beyrouth. Actuellement, 15 enseignes sont réparties dans les différentes ruelles de ce centre commercial. Ce chiffre a doublé au cours des 12 derniers mois. L’inauguration de la phase 2 des Souks avec ses cinémas, ses franchises issues de la restauration rapide devrait renforcer le poids de cette adresse fréquentée par un public varié.
La restauration dans le secteur Foch-Allenby doit son salut au boom des pubs au nord de la rue Uruguay. Longtemps abandonnée, cette rue a connu une nouvelle vie sous l’impulsion de Solidere qui en a fait la destination des noctambules BCBG de Beyrouth. Avec une dizaine d’enseignes, l’initiative est une réussite et a permis de tirer les loyers vers le haut. Autour de la place Samir Kassir, le mètre carré est affiché autour de 1 000 dollars annuel, alors que les locaux au sud de la rue Uruguay n’arrivent pas à se louer à 500 dollars le m2.
Les belles années de la rue Maarad sont derrière elle. Cet axe reste très touristique et offre un cadre architectural élégant avec ses arcades. Toutefois, sa structure commerciale s’appauvrit en termes de qualité avec la multiplication de la restauration rapide dominée par des snacks libanais et des cafés à narguilé. Si la rue Maarad survit et maintient son leadership, les rues Ahdab et Omari sont à la peine. Les fermetures s’y succèdent. Les loyers y sont en baisse et devraient varier de 700 à 800 dollars le m2. Constat plus alarmant du côté de la rue Toubia Aoun où les loyers ne devraient pas dépasser 500 dollars par m2.
Malgré un nombre limité d’enseignes, la région de Minet el-Hosn s’impose progressivement comme une adresse raffinée avec des enseignes comme Cocteau ou Balthus qui séduisent le jour le milieu d’affaires et la nuit l’élite locale. Les loyers sont à la hausse et frôlent la barre des 1 000 dollars le m2.
En collaboration avec la société Stow, Solidere a frappé un grand coup avec l’inauguration de Zaitunay Bay. N’en déplaise à ses détracteurs, il est difficile de décrier le cadre de la marina du Saint-Georges ni la propreté du site. Cette destination est indéniablement élégante et haut de gamme. L’offre se structure autour de 17 enseignes principalement des restaurants et des cafés. Unique au Liban, le concept du Zaitunay Bay a séduit rapidement les professionnels qui doivent s’acquitter d’un loyer d’environ 1 000 dollars par m2 par an. Contrairement aux autres emplacements à Beyrouth, la valeur des espaces intérieurs est la même que celle des terrasses. C’est l’une des adresses du centre-ville où le loyer est le plus cher.
Depuis plus d’un an, le nombre de restaurants ne cesse d’augmenter dans les Souks de Beyrouth. Actuellement, 15 enseignes sont réparties dans les différentes ruelles de ce centre commercial. Ce chiffre a doublé au cours des 12 derniers mois. L’inauguration de la phase 2 des Souks avec ses cinémas, ses franchises issues de la restauration rapide devrait renforcer le poids de cette adresse fréquentée par un public varié.
La restauration dans le secteur Foch-Allenby doit son salut au boom des pubs au nord de la rue Uruguay. Longtemps abandonnée, cette rue a connu une nouvelle vie sous l’impulsion de Solidere qui en a fait la destination des noctambules BCBG de Beyrouth. Avec une dizaine d’enseignes, l’initiative est une réussite et a permis de tirer les loyers vers le haut. Autour de la place Samir Kassir, le mètre carré est affiché autour de 1 000 dollars annuel, alors que les locaux au sud de la rue Uruguay n’arrivent pas à se louer à 500 dollars le m2.
Les belles années de la rue Maarad sont derrière elle. Cet axe reste très touristique et offre un cadre architectural élégant avec ses arcades. Toutefois, sa structure commerciale s’appauvrit en termes de qualité avec la multiplication de la restauration rapide dominée par des snacks libanais et des cafés à narguilé. Si la rue Maarad survit et maintient son leadership, les rues Ahdab et Omari sont à la peine. Les fermetures s’y succèdent. Les loyers y sont en baisse et devraient varier de 700 à 800 dollars le m2. Constat plus alarmant du côté de la rue Toubia Aoun où les loyers ne devraient pas dépasser 500 dollars par m2.
Malgré un nombre limité d’enseignes, la région de Minet el-Hosn s’impose progressivement comme une adresse raffinée avec des enseignes comme Cocteau ou Balthus qui séduisent le jour le milieu d’affaires et la nuit l’élite locale. Les loyers sont à la hausse et frôlent la barre des 1 000 dollars le m2.