La banque d'investissement Barclays Capital a indiqué que "le conflit en Syrie pèse lourdement sur l’activité économique libanaise".
Selon Barclays, cette situation renforce les divisions politiques au Liban et la situation d’impasse. Indicateur synthétique de l’activité économique, arrivées de touristes, nombre de permis de construire octroyés et livraisons de ciment, les principaux indicateurs économiques témoignent d'une baisse de l'activité économique.
Barclays Capital a ajouté que la consommation et l’investissement avaient été affectés comme en témoigne la hausse limitée des crédits et la contraction du taux de croissance des importations. Selon la banque d’investissement, la croissance des crédits a pratiquement été nulle au troisième trimestre de l’année en comparaison avec le deuxième trimestre, tandis qu’elle a fortement chuté par rapport au premier trimestre de 2012.
En parallèle, Barclays Capital a indiqué que la faiblesse de la croissance économique couplée à la situation d’impasse politique dans lequel le pays demeure continuent de peser sur les finances publiques. La banque a indiqué que la croissance modérée des recettes combinée à une augmentation des dépenses ont conduit à un creusement significatif du déficit budgétaire.
Barclays Capital a en outre souligné que pour la septième année consécutive, le Liban ne disposait pas d’une politique budgétaire et économique à moyen terme. Le gouvernement n’a en effet pas encore présenté son projet de budget pour 2013.
La banque d’investissement a enfin estimé le déficit budgétaire à au moins 8% du PIB en 2013 contre un taux à 7,5% du PIB cette année. Barclays Capital a enfin prévu que le niveau de la dette publique se stabilise à environ 135,5% du PIB en 2013.
Selon Barclays, cette situation renforce les divisions politiques au Liban et la situation d’impasse. Indicateur synthétique de l’activité économique, arrivées de touristes, nombre de permis de construire octroyés et livraisons de ciment, les principaux indicateurs économiques témoignent d'une baisse de l'activité économique.
Barclays Capital a ajouté que la consommation et l’investissement avaient été affectés comme en témoigne la hausse limitée des crédits et la contraction du taux de croissance des importations. Selon la banque d’investissement, la croissance des crédits a pratiquement été nulle au troisième trimestre de l’année en comparaison avec le deuxième trimestre, tandis qu’elle a fortement chuté par rapport au premier trimestre de 2012.
En parallèle, Barclays Capital a indiqué que la faiblesse de la croissance économique couplée à la situation d’impasse politique dans lequel le pays demeure continuent de peser sur les finances publiques. La banque a indiqué que la croissance modérée des recettes combinée à une augmentation des dépenses ont conduit à un creusement significatif du déficit budgétaire.
Barclays Capital a en outre souligné que pour la septième année consécutive, le Liban ne disposait pas d’une politique budgétaire et économique à moyen terme. Le gouvernement n’a en effet pas encore présenté son projet de budget pour 2013.
La banque d’investissement a enfin estimé le déficit budgétaire à au moins 8% du PIB en 2013 contre un taux à 7,5% du PIB cette année. Barclays Capital a enfin prévu que le niveau de la dette publique se stabilise à environ 135,5% du PIB en 2013.